Sa fiche sur Wikipédia
Voyez Ben Stiller dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Duplex v.f. 2003Au nom d’Anna 2000
La belle-famille 2000
Marie a un-je-ne-sais-quoi 1998
If Lucy Fell 1996
Amours, flirt et calamités 1995
Pour votre information, ce blogue n'a pas de vocation commerciale. Il s'agit plutôt de ma liste personnelle de films que j'ai acheté principalement dans les Superclub Vidéotron de la région de Montréal.
Duplex v.f. 2003
Révélée en 1999 par la cinéaste Léa Pool dans Emporte-moi , Karine Vanasse laisse sans voix la critique comme le public. Depuis, elle enchaîne sans relâche de nombreux projets et acquiert en autodidacte éclairée une importante expérience des plateaux de tournage. Sa fraîcheur et la justesse de son jeu naturel font d'elle une actrice désormais incontournable de la cinématographie québécoise. Un talent indéniable qui, faut-il le préciser, se déploie par ailleurs dans la langue de Molière aussi bien que dans celle de Shakespeare.
Avec ses amis du Lycée Pasteur de Neuilly, Michel Blanc, Gérard Jugnot et Christian Clavier, Thierry Lhermitte suit des cours d'art dramatique parallèlement à des études d'économie. C'est avec ces derniers et les demoiselles Josiane Balasko et Marie-Anne Chazel qu'il fonde la troupe comique du Splendid. Après avoir décroché quelques petits rôles dans de nombreux films, dont Que la fête commence en 1974 et Des enfants gâtés en 1977, tous deux réalisés par Bertrand Tavernier, le beau gosse de la bande connaît avec ses amis ses premiers succès en 1978-1979 avec Les Bronzés, l'adaptation de la pièce du Splendid Amour, coquillages et crustacés, et la suite "hivernale" Les Bronzés font du ski.
Après une scolarité difficile, Alain Chabat cherche sa voie dans la bande dessinée et la musique avant d'être engagé comme animateur sur la radio RMC. Il y fait la rencontre de Pierre Lescure, qui en fait l'un des pionniers de Canal + dès son lancement au milieu des années 80. Il forme alors avec Chantal Lauby, Dominique Farrugia et Bruno Carette le collectif des Nuls, qui fait les belles heures de la chaîne cryptée. En 1993, le trio comique, sans Bruno Carette, décédé en 1989, écrit la comédie déjantée La Cité de la peur, énorme succès populaire dont ils tiennent également la vedette.
Fille de la comédienne Catherine Belkhodja, Isild Le Besco fait à 8 ans ses premiers pas à l'écran dans Lacenaire : elle y interprète Hermione, un personnage qu'elle partage avec sa soeur aînée Maïwenn. La jeune réalisatrice Emmanuelle Bercot choisit sur casting cette adolescente aux yeux clairs et au charme insolent, et en fait l'héroïne de ses deux courts, primés dans de nombreux festivals : Les Vacances puis La Puce (1998), qui conte l'initiation sexuelle d'une jeune fille par un homme mûr - quelques années plus tard, Emmanuelle Bercot fera de nouveau appel à elle pour Backstage, son deuxième long-métrage en 2005.
Issu du Conservatoire Stella Adler, Mark Ruffalo débute au Cast Theater et fonde sa propre troupe de théâtre, la Orpheus Theatre Company. Il fait ses premières apparitions sur grand écran en 1993, dans Rough trade et There goes my baby.
Noël avec les Krank 2004
Plan de vol 2005
Voyez Meg Ryan dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Melinda et Melinda 2004
La carrière de Sophie Marceau, de son vrai nom Sophie Maupu, débute alors qu'elle n'a que 14 ans avec La Boum (1980) de Claude Pinoteau. Le succès de cette comédie est tel que deux ans plus tard, la jeune actrice retrouve son personnage d'adolescente rebelle dans la suite La Boum 2 qui lui vaut le César du Meilleur espoir féminin. Sa collaboration avec le cinéaste se poursuivra en 1988 avec L'Étudiante, une comédie romantique située dans la droite lignée de ces précédents films et où elle a pour partenaire masculin principal Vincent Lindon.
Souffrant d'asthme, Martin Scorsese fréquente assidument les salles de cinéma de Little Italy dès son adolescence. Il souhaite devenir peintre puis prêtre avant d'entamer ses études à la New York University où il tourne ses premiers courts métrages. En 1965, il commence à travailler sur Who's that knocking at my door ?, son premier long métrage avec Harvey Keitel dans le rôle principal, qu'il ne terminera que quatre années plus tard. Entre temps, il se fait renvoyer du tournage des Tueurs de la lune de miel au bout d'une semaine et effectue quelques travaux de montage. Le cinéaste est alors approché par Roger Corman qui lui propose de financer son second long métrage, Bertha Boxcar en 1972. Mécontent des contraintes imposées par le producteur, il cherche à revenir à un sujet plus personnel et finit par trouver les fonds nécessaires au tournage de Mean streets en 1973. Le film marque sa première collaboration avec son acteur fétiche Robert De Niro et impose Scorsese comme un des réalisateurs les plus prometteurs de sa génération.
Après avoir étudié au Centre dramatique de Caen, Jacques Gamblin tente sa chance à Paris. Il décroche son premier rôle en 1988 dans Périgord noir de Nicolas Ribowski. Claude Lelouch lui accorde sa confiance en lui proposant d'apparaître dans Il y a des jours... et des lunes, La Belle histoire et Tout ça... pour ça ! (1992). Acteur fidèle, il tourne à deux reprises sous la direction de Laurent Bénégui dans Au petit Marguery en 1994 et Mauvais genre en 1996 et de Philippe Lioret dans Tenue correcte exigée en 1997 et Mademoiselle en 2000. 1995 se révèle être une année bénéfique pour l'acteur qui collabore coup sur coup avec Bertrand Blier pour Mon homme et Robert Guédiguian pour À la vie, à la mort !.
Fils d'un biologiste et d'une prof de français, François Ozon, aîné turbulent de 4 enfants, reçoit une éducation catholique. S'il prend, adolescent, quelques cours de comédie, il s'oriente très tôt vers la mise en scène. Titulaire d'une maîtrise de cinéma à Paris I (il a pour professeurs Éric Rohmer et Joseph Morder), il tourne parallèlement à ses études des dizaines de films avec la caméra super-8 de son père. Intégrant le département réalisation de la Femis en 1990, il rédige une maîtrise sur Maurice Pialat et signe de nombreux courts-métrages. C'est d'ailleurs grâce à ses courts qu'Ozon se fera un nom au sein du jeune cinéma français. Parmi ces oeuvres se distingue Une robe d'été (1996), vision décomplexée de l'homosexualité, primée à Locarno et présentée à Cannes.
Dès la fin de ses études à l’École nationale de théâtre en 1993, Serge Postigo se fait rapidement remarquer à la télé dans Watatatow, Urgence et surtout, 4 et demi… pour son rôle de François Dion, le public lui remet d’ailleurs en 1997 et 1999 le MétroStar du meilleur acteur de téléroman, en plus de le consacrer personnalité masculine de l’année en 1999. Il enchaîne rapidement par la suite avec les séries Rue de l’Espérance et Music-hall.
Né d'un père italien et d'une mère allemande favorisant au mieux ses aptitudes artistiques, Leonardo DiCaprio suit des cours de comédie dès l'école primaire. Auditionnant pour la première fois en 1988, il commence par tourner des spots publicitaires puis obtient très vite quelques petits rôles à la télévision avant de se faire remarquer dans la série Quoi de neuf, docteur ? en 1991. Mais il est surtout intéressé par le cinéma, et après un premier film d'horreur, Critters 3, Leonardo DiCaprio est choisi parmi quatre cents candidats pour jouer le beau-fils maltraité de Robert De Niro dans Blessures secrètes en 1993.
Après une adolescence perturbée, Demi Moore abandonne ses études pour poser dans quelques magazines. Elle commence ensuite une carrière de comédienne en apparaissant pour la première fois à l'écran en 1981 dans Choices, un drame de Silvio Narizzano, et dans la série télévisée General hospital. Trois ans plus tard, elle incarne la fille de Michael Caine dans C'est la faute à Rio (1984) de Stanley Donen, remake américain d'Un moment d'égarement. Joseph Bologna, seconde vedette masculine du film, la choisit alors pour interpréter sa fille dans le téléfilm Bedrooms.
Scarlett Johansson entame sa carrière de comédienne sur scène à Broadway, à l'âge de huit ans, en tenant la vedette de la pièce Sophistry aux côtés d'Ethan Hawke. En 1994, elle débute au cinéma avec un petit rôle dans L'Irrésistible North de Rob Reiner. S'ensuivent des apparitions dans le thriller Juste cause (1994), aux côtés de Sean Connery, et Maman, je m'occupe des méchants (1997).
Fils d'un immigré italien, Fabrice Luchini grandit dans le quartier parisien de la Goutte d'or où, dès son plus jeune âge, il vend à la criée les fruits et légumes du commerce de ses parents.
Préférant la rue à l'école, il se passionne néanmoins très tôt pour la littérature en dévorant Balzac, Flaubert ou Proust, goût qu'il cultivera d'ailleurs toujours en autodidacte. À 13 ans, sa mère le place dans un salon chic de l'avenue Matignon comme apprenti coiffeur, mais sa passion pour l'univers de la Soul et pour James Brown en particulier en fait un habitué des discothèques, où il est repéré par Philippe Labro, qui lui confie son premier rôle dans Tout peut arriver (1969).
Fabrice Luchini joue ensuite dans Le Genou de Claire d'Eric Rohmer, dont il va devenir l'acteur fétiche, et s'inscrit parallèlement aux cours de Jean-Laurent Cochet. Comme une révélation, il y découvre le théâtre, "seul lieu où s'exprime la vie, la nourriture de la vie, ce qu'aucune école n'enseignera jamais". Fort de cette nouvelle expérience, il retrouve Eric Rohmer en 1978 pour Perceval le Gallois et tourne quelques comédies sans pour autant susciter une véritable adhésion. Il lui faudra ainsi attendre 1990 et son rôle dans La Discrète de Christian Vincent, où il impose son personnage de dandy précieux à l'éloquence ciselée, pour qu'il soit enfin reconnu du grand public.
Dès lors, Fabrice Luchini enchaîne grosses productions et films d'auteurs, laissant libre court à son talent explosif et à sa verve habituelle dans Riens du tout de Cédric Klapisch (1992), Tout ça... pour ça ! de Claude Lelouch (1993), ou encore Beaumarchais, l'insolent d'Edouard Molinaro (1995). Il donne la réplique à des actrices telles que Sandrine Kiberlain dans Rien sur Robert (1999), Nathalie Baye dans Barnie et ses petites contrariétés (2001) et Sandrine Bonnaire dans Confidences trop intimes (2004). Mais le comédien, qui retrouve son complice Vincent Lindon dans Le Coût de la vie (2002) et propose une méthode unique pour régler tous les maux dans La cloche a sonné (2005), se consacre petit à petit davantage à la scène, où il rencontre un important succès en déclamant des textes de La Fontaine, Nietzche ou Céline. De retour sur le grand écran avec le long-métrage Jean-Philippe de Laurent Tuel (2006), il incarne un fan de Johnny Hallyday qui se réveille dans un monde où son idole n'a jamais existé.