Acteur français né le 30 avril 1958 à Saint-Mandé.
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Après s'être produit au sein de la troupe de son lycée, à Toulon, Charles Berling suit une formation de comédien à l'Insas à Bruxelles. S'il se consacre essentiellement au théâtre dans les années 80 -en particulier dans le cadre du TNS dirigé par Jean-Louis Martinelli-, il fait sa première apparition à l'écran en 1982 dans Meurtres à domicile. Par la suite, on le remarque en fils rongé par le ressentiment dans Petits arrangements avec les morts en 1994, et en époux d'Emmanuelle Béart dans Nelly et Monsieur Arnaud, film-testament de Claude Sautet en 1995.
Charles Berling accède à la notoriété en 1996 grâce à son rôle de Marquis candide dans Ridicule de Patrice Leconte, avec à la clé une nomination au César du Meilleur acteur. Héros d'un remake de Jules et Jim pour le petit écran, il est au coeur de deux autres trios amoureux, Love etc. et le corrosif Nettoyage à sec d'Anne Fontaine, dans lequel il campe un mari frustré en 1997. Prof de philo pris de frénésie sexuelle dans L'ennui de Cédric Kahn en 1998, le fiévreux Berling incarne la même année un des passagers de Ceux qui m'aiment prendront le train, oeuvre polyphonique de Patrice Chéreau.
Après avoir prêté ses traîts à Pierre Curie dans Les Palmes de M. Schutz, Charles Berling, de plus en plus sollicité, trouve un de ses plus beaux rôles, celui d'un Pasteur charentais, dans un autre film d'époque avec Isabelle Huppert : Les Destinées sentimentales (2000) d'Olivier Assayas, cinéaste qu'il retrouvera à l'occasion de L'amant diabolique. Si cet amoureux du verbe s'illustre parfois dans la comédie, Cravate club qu'il joua au théâtre, Père et fils de Michel Boujenah en 2003, Un fil à la patte, il affiche une prédilection pour les personnages ambigus et les univers troubles, comme en témoignent ses prestations dans La comédie de l’innocence de Raoul Ruiz, le thriller Scènes de crimes, Comment j'ai tué mon père, face-à-face glaçant avec Michel Bouquet en 2001 ou encore L'Homme de sa vie, histoire d'un amour homosexuel signé Zabou Breitman. Citoyen engagé, Berling apparaît en 2005 dans une fiction traitant de l'assassinat de Ben Barka et prête sa voix en 2006 à un documentaire sur le réchauffement de la planète.
Source : www.allocine.fr
Voyez Charles Berling dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Heure d'été (L') 2008
Homme de sa vie (L') 2006
Je pense à vous 2006
J'ai vu tuer Ben Barka 2005
La marche de l'empereur (Voix) 2005
Agents secrets 2004
Un fil à la patte 2004
Je reste 2003
L'amant diabolique 2002
Père et fils 2002
Filles perdues cheveux gras 2002
Comédie de l’innocence 2001
Comment j'ai tué mon père 2001
15 août 2000
Affaire de goût (Une) 2000
Scènes de crimes 2000
Stardom 2000
Une affaire de goût 1999
L'ennui 1998
Nettoyage à sec 1997
Palmes de M. Schutz (Les) 1997
Nelly et Monsieur Arnaud 1995
Ridicule 1995
30 avril, 2006
Jacques Audiard
Réalisateur français né le 30 avril 1952 à Paris.
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Fils du réalisateur et dialoguiste Michel Audiard. Jacques Audiard se destine au professorat, mais après des études de Lettres avortées, il se lance dans le cinéma et débute comme monteur. Au début des années 80, il s'essaie avec succès à l'écriture de scénarios. Il signe ainsi les scripts de Réveillon chez Bob!, Mortelle randonnée, Baxter, Fréquence Meurtre ou encore Saxo.
Il passe à la mise en scène en 1994 avec Regarde les hommes tomber, sombre road movie qui met en scène deux hommes que tout sépare, interprétés par Mathieu Kassovitz et Jean-Louis Trintignant. Le film remporte le César du meilleur premier film ainsi que le prix Georges-Sadoul. Deux ans plus tard, le cinéaste retrouve Mathieu Kassovitz pour son second long métrage, Un héros très discret (prix du meilleur scénario au festival de Cannes 1996), qu'il adapte du roman homonyme de Jean-François Deniau.
Celui qui se considère comme un artisan du cinéma met cinq ans pour réaliser son film suivant, Sur mes lèvres, une histoire d'amour sur fond de polar noir avec Emmanuelle Devos et Vincent Cassel. Ce troisième film récolte 9 nominations aux Césars dont celles du Meilleur film et du Meilleur réalisateur, remporte celui du meilleur scénario et permet à Emmanuelle Devos d'être sacrée meilleure actrice.
Fort de ce succès, Jacques Audiard s'attelle au remake de Mélodie pour un tueur, de James Toback. Soit De battre mon coeur s'est arrêté, titre qui fait allusion à la chanson La Fille du Père Noël de Jacques Dutronc. Il y dirige un Romain Duris tiraillé entre ses aspirations artistiques et la brutale réalité du milieu dans lequel il évolue, entre le souvenir d'une mère pianiste et la présence d'un père rude et égoïste qui magouille comme lui dans l'immobilier.
Source : www.allocine.fr
Voyez les films de Jacques Audiard, disponibles au Superclub Vidéodan.
De battre mon coeur s'est arrêté 2005
Sur mes lèvres 2001
Héros très discret (Un) 1996
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Fils du réalisateur et dialoguiste Michel Audiard. Jacques Audiard se destine au professorat, mais après des études de Lettres avortées, il se lance dans le cinéma et débute comme monteur. Au début des années 80, il s'essaie avec succès à l'écriture de scénarios. Il signe ainsi les scripts de Réveillon chez Bob!, Mortelle randonnée, Baxter, Fréquence Meurtre ou encore Saxo.
Il passe à la mise en scène en 1994 avec Regarde les hommes tomber, sombre road movie qui met en scène deux hommes que tout sépare, interprétés par Mathieu Kassovitz et Jean-Louis Trintignant. Le film remporte le César du meilleur premier film ainsi que le prix Georges-Sadoul. Deux ans plus tard, le cinéaste retrouve Mathieu Kassovitz pour son second long métrage, Un héros très discret (prix du meilleur scénario au festival de Cannes 1996), qu'il adapte du roman homonyme de Jean-François Deniau.
Celui qui se considère comme un artisan du cinéma met cinq ans pour réaliser son film suivant, Sur mes lèvres, une histoire d'amour sur fond de polar noir avec Emmanuelle Devos et Vincent Cassel. Ce troisième film récolte 9 nominations aux Césars dont celles du Meilleur film et du Meilleur réalisateur, remporte celui du meilleur scénario et permet à Emmanuelle Devos d'être sacrée meilleure actrice.
Fort de ce succès, Jacques Audiard s'attelle au remake de Mélodie pour un tueur, de James Toback. Soit De battre mon coeur s'est arrêté, titre qui fait allusion à la chanson La Fille du Père Noël de Jacques Dutronc. Il y dirige un Romain Duris tiraillé entre ses aspirations artistiques et la brutale réalité du milieu dans lequel il évolue, entre le souvenir d'une mère pianiste et la présence d'un père rude et égoïste qui magouille comme lui dans l'immobilier.
Source : www.allocine.fr
Voyez les films de Jacques Audiard, disponibles au Superclub Vidéodan.
De battre mon coeur s'est arrêté 2005
Sur mes lèvres 2001
Héros très discret (Un) 1996
Kirsten Dunst
Actrice américaine née le 30 avril 1982 à Point Pleasant (USA).
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Kirsten Dunst débute sa carrière à l'âge de trois ans en tournant des spots publicitaires avant de devenir mannequin, notamment pour l'agence Ford. Elle fait ses premiers pas au cinéma en 1989 chez Woody Allen, dans le film à sketches New York stories. Un an plus tard, elle voit son nom crédité pour la première fois au générique du Bûcher des vanités, de Brian De Palma.
Elle n'a que douze ans lorsque Neil Jordan la choisit parmi quelques 5000 candidates pour incarner Claudia, créature des ténèbres condamnée à demeurer dans un corps d'enfant, dans Entretien avec un vampire. Elle y donne la réplique à Tom Cruise et à Brad Pitt et obtient pour ce rôle une nomination aux Golden Globes. Auréolée de ce succès précoce, la jeune fille tourne beaucoup, aux côtés d'acteurs prestigieux comme Susan Sarandon dans Les Quatre Filles du docteur March, Robin Williams dans Jumanji ou encore Robert De Niro dans Des hommes d'influence. Elle participe également à de nombreux films d'animation, prêtant sa voix à Kiki la petite sorcière, Anastasia ou encore Christy dans Small Soldiers.
1999 marque sa rencontre avec la cinéaste Sofia Coppola, qui lui offre le rôle de Lux Lisbon dans Virgin suicides. La critique salue unanimement sa prestation de jeune fille désespérée dans l'Amérique des années 1970. Kirsten Dunst se spécialise alors dans les comédies pour adolescents, lycéenne déterminée à gagner un concours de beauté dans l'irrévérentieux Belles à mourir, entraineuse d'une équipe de cheerleaders dans American girls, jeune fille riche voyant son histoire d'amour avec un garçon pauvre contrariée dans Crazy/Beautiful. Elle accède à la gloire en 2002 en interprètant Mary Jane Watson, la fiancée de Spider-Man, rôle qu'elle reprendra dans les opus suivants, Spider-man 2 et Spider-man 3.
Partenaire de Julia Roberts dans Le Sourire de Mona Lisa, de Jim Carrey dans Du soleil plein la tête, Kirsten Dunst joue avec son image de girl next door et enchaîne les comédies romantiques, séduisant à l'écran Paul Bettany dans La Plus belle victoire et Orlando Bloom dans Elizabethtown. En 2006, la jeune actrice retrouve Sofia Coppola pour le long métrage Marie-Antoinette, présenté en compétition du Festival de Cannes, dans lequel elle incarne la reine éponyme, portant ainsi pour la première fois entièrement un film sur ses épaules.
Source : www.allocine.fr
Voyez Kirsten Dunst dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Spider-man 3 v.f. 2007
Marie Antoinette v.f. 2006
Elizabethtown 2005
Du soleil plein la tête 2004
Sourire de Mona Lisa (Le) 2004
Spider-man 2 v.f. 2004
Wimbledon v.f. 2004
Spider-man v.f. 2002
The Virgin suicides v.f. 1999
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Kirsten Dunst débute sa carrière à l'âge de trois ans en tournant des spots publicitaires avant de devenir mannequin, notamment pour l'agence Ford. Elle fait ses premiers pas au cinéma en 1989 chez Woody Allen, dans le film à sketches New York stories. Un an plus tard, elle voit son nom crédité pour la première fois au générique du Bûcher des vanités, de Brian De Palma.
Elle n'a que douze ans lorsque Neil Jordan la choisit parmi quelques 5000 candidates pour incarner Claudia, créature des ténèbres condamnée à demeurer dans un corps d'enfant, dans Entretien avec un vampire. Elle y donne la réplique à Tom Cruise et à Brad Pitt et obtient pour ce rôle une nomination aux Golden Globes. Auréolée de ce succès précoce, la jeune fille tourne beaucoup, aux côtés d'acteurs prestigieux comme Susan Sarandon dans Les Quatre Filles du docteur March, Robin Williams dans Jumanji ou encore Robert De Niro dans Des hommes d'influence. Elle participe également à de nombreux films d'animation, prêtant sa voix à Kiki la petite sorcière, Anastasia ou encore Christy dans Small Soldiers.
1999 marque sa rencontre avec la cinéaste Sofia Coppola, qui lui offre le rôle de Lux Lisbon dans Virgin suicides. La critique salue unanimement sa prestation de jeune fille désespérée dans l'Amérique des années 1970. Kirsten Dunst se spécialise alors dans les comédies pour adolescents, lycéenne déterminée à gagner un concours de beauté dans l'irrévérentieux Belles à mourir, entraineuse d'une équipe de cheerleaders dans American girls, jeune fille riche voyant son histoire d'amour avec un garçon pauvre contrariée dans Crazy/Beautiful. Elle accède à la gloire en 2002 en interprètant Mary Jane Watson, la fiancée de Spider-Man, rôle qu'elle reprendra dans les opus suivants, Spider-man 2 et Spider-man 3.
Partenaire de Julia Roberts dans Le Sourire de Mona Lisa, de Jim Carrey dans Du soleil plein la tête, Kirsten Dunst joue avec son image de girl next door et enchaîne les comédies romantiques, séduisant à l'écran Paul Bettany dans La Plus belle victoire et Orlando Bloom dans Elizabethtown. En 2006, la jeune actrice retrouve Sofia Coppola pour le long métrage Marie-Antoinette, présenté en compétition du Festival de Cannes, dans lequel elle incarne la reine éponyme, portant ainsi pour la première fois entièrement un film sur ses épaules.
Source : www.allocine.fr
Voyez Kirsten Dunst dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Spider-man 3 v.f. 2007
Marie Antoinette v.f. 2006
Elizabethtown 2005
Du soleil plein la tête 2004
Sourire de Mona Lisa (Le) 2004
Spider-man 2 v.f. 2004
Wimbledon v.f. 2004
Spider-man v.f. 2002
The Virgin suicides v.f. 1999
29 avril, 2006
Uma Thurman
Actrice américaine née le 29 avril 1970
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Voyez Uma Thurman dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Ma super ex-copine 2006
Entre elles et lui 2006
Les producteurs 2005
Tuer Bill, Volume 1 2003
Tuer Bill, Volume 2 2003
Vatel 1999
Accord et désaccord 1999
Fiction pulpeuse 1994
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Voyez Uma Thurman dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Ma super ex-copine 2006
Entre elles et lui 2006
Les producteurs 2005
Tuer Bill, Volume 1 2003
Tuer Bill, Volume 2 2003
Vatel 1999
Accord et désaccord 1999
Fiction pulpeuse 1994
28 avril, 2006
Penélope Cruz
Actrice espagnole née le 28 avril 1974 à Madrid
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Penélope Cruz commence par apprendre la danse au Conservatoire National Espagnol avant d'entamer une carrière d'actrice. Elle fait de petites apparitions à la télévision de son pays avant d'obtenir un rôle secondaire dans El laberinto griego de Rafael Alcàzar, en 1991. Peu après, elle est repérée par le réalisateur espagnol José Juan Bigas Luna, qui lui propose le rôle dénudé de la belle Silvia dans Jambon Jambon. Elle accepte. Sa carrière est lancée.
Les propositions affluent alors, lui permettant de choisir ses rôles et réalisateurs. Pour Alejandro Amenabar dans le vertigineux Ouvre les yeux (1997), elle représente l'objet du désir trouble et mystérieux d'Eduardo Noriega. Elle apparaît chez Pedro Almodovar en nonne craquante dans Tout sur ma mère, Prix de la mise en scène à Cannes en 1999. Son talent traverse les frontières : elle joue dans le western The Hi-Lo Country de Stephen Frears et dans la comédie culinaire Amour, piments et bossa nova. Nicolas Cage et Christian Bale, quant à eux, se battent à mort pour ses beaux yeux dans La mandoline du capitaine Corelli (2001).
En 2002, Penélope Cruz partage l'affiche de Vanilla sky (le remake américain d'Ouvre les yeux) avec son compagnon Tom Cruise, avant de rejoindre l'univers du producteur Luc Besson pour Fanfan la Tulipe. Devenue actrice internationale de premier plan, elle donne la réplique à Halle Berry dans le thriller fantastique Gothika de Mathieu Kassovitz (2003), compose avec Charlize Theron un séduisant duo d'actrices dans Nous étions libres (2004), puis s'aventure dans le désert du Sahara (2005). Des vélléités hollywoodiennes qui ne l'éloignent pas du cinéma d'auteur, en témoigne son rôle dans Écoute-moi (2004), de, et avec, Sergio Castellitto. Retour à un film d'aventures avec Bandidas, où l'actrice espagnole forme avec Salma Hayek un duo explosif (2005).
Source : www.allocine.fr
Voyez Penélope Cruz dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Étreintes brisées (Les) 2009
Élégie: L'ultime passion 2008
Vicky Cristina Barcelona v.f. 2008
Volver v.f. 2006
Bandidas v.f. 2005
La tête dans les nuages 2004
Écoute-moi 2004
Gothika 2003
Fanfan la tulipe 2003
Ciel couleur vanille (Un) 2002
Escapade à Reno 2002
La mandoline du capitaine Corelli 2000
Amour, piments et Bossa-Nova 2000
Seulement si… 1998
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Penélope Cruz commence par apprendre la danse au Conservatoire National Espagnol avant d'entamer une carrière d'actrice. Elle fait de petites apparitions à la télévision de son pays avant d'obtenir un rôle secondaire dans El laberinto griego de Rafael Alcàzar, en 1991. Peu après, elle est repérée par le réalisateur espagnol José Juan Bigas Luna, qui lui propose le rôle dénudé de la belle Silvia dans Jambon Jambon. Elle accepte. Sa carrière est lancée.
Les propositions affluent alors, lui permettant de choisir ses rôles et réalisateurs. Pour Alejandro Amenabar dans le vertigineux Ouvre les yeux (1997), elle représente l'objet du désir trouble et mystérieux d'Eduardo Noriega. Elle apparaît chez Pedro Almodovar en nonne craquante dans Tout sur ma mère, Prix de la mise en scène à Cannes en 1999. Son talent traverse les frontières : elle joue dans le western The Hi-Lo Country de Stephen Frears et dans la comédie culinaire Amour, piments et bossa nova. Nicolas Cage et Christian Bale, quant à eux, se battent à mort pour ses beaux yeux dans La mandoline du capitaine Corelli (2001).
En 2002, Penélope Cruz partage l'affiche de Vanilla sky (le remake américain d'Ouvre les yeux) avec son compagnon Tom Cruise, avant de rejoindre l'univers du producteur Luc Besson pour Fanfan la Tulipe. Devenue actrice internationale de premier plan, elle donne la réplique à Halle Berry dans le thriller fantastique Gothika de Mathieu Kassovitz (2003), compose avec Charlize Theron un séduisant duo d'actrices dans Nous étions libres (2004), puis s'aventure dans le désert du Sahara (2005). Des vélléités hollywoodiennes qui ne l'éloignent pas du cinéma d'auteur, en témoigne son rôle dans Écoute-moi (2004), de, et avec, Sergio Castellitto. Retour à un film d'aventures avec Bandidas, où l'actrice espagnole forme avec Salma Hayek un duo explosif (2005).
Source : www.allocine.fr
Voyez Penélope Cruz dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Étreintes brisées (Les) 2009
Élégie: L'ultime passion 2008
Vicky Cristina Barcelona v.f. 2008
Volver v.f. 2006
Bandidas v.f. 2005
La tête dans les nuages 2004
Écoute-moi 2004
Gothika 2003
Fanfan la tulipe 2003
Ciel couleur vanille (Un) 2002
Escapade à Reno 2002
La mandoline du capitaine Corelli 2000
Amour, piments et Bossa-Nova 2000
Seulement si… 1998
25 avril, 2006
Renee Zellweger
Actrice et productrice américaine née le 25 avril 1969 à Katy (USA).
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Née d'un père suisse et d'une mère norvégienne, Renée Zellweger s'intéresse au métier d'actrice dès le lycée, où elle fait partie du club de théâtre. Après son passage à l'université du Texas, elle décide de se lancer dans la comédie. Elle réussit à décrocher quelques rôles pour la télévision locale, avant de faire de très modestes débuts au cinéma dans la comédie My boyfriend's back. En 1994, Génération 90 lui offre un rôle plus consistant même si elle reste le faire-valoir de Winona Ryder et Ethan Hawke. La même année, les éloges qu'elle reçoit pour son interprétation de Marlene, jeune fiancée d'un psychopathe dans le thriller Love and a .45, l'encouragent à partir s'installer à Los Angeles.
C'est dans la capitale du cinéma que la carrière de la jeune comédienne prend son envol. Après l'avoir vue dans The Whole wide world (1996), Cameron Crowe l'auditionne et lui confie le second rôle féminin de Jerry Maguire, Dorothy Boyd Maguire, au détriment d'actrices comme Winona Ryder ou Marisa Tomei. Malgré sa participation au drame One True Thing aux cotés de Meryl Streep en 1998, Renée Zellweger fait des comédies romantiques sa spécialité. Elle est tour à tour Betty Sizemore, une infirmière amnésique, dans Garde Betty (2000), Anne Archer, la fiancée du presque milliardaire Chris O'Donnell dans Le Célibataire, et Irene, la muse de Jim Carrey dans Moi, moi-même et Irène (id.).
Devenue comédienne de premier plan, Renée Zellweger triomphe en 2001 dans Le Journal de Bridget Jones, film adapté du roman à succès de Helen Fielding. Elle y interprète une jeune femme en mal d'amour, un rôle qu'elle reprendra en 2004 pour la suite Bridget Jones : L'âge de raison. Star à part entière pour films oscarisables, elle intègre des castings prestigieux, poussant la chansonnette aux côtés de Catherine Zeta-Jones et Richard Gere dans la comédie musicale Chicago (2003), donnant la réplique à Nicole Kidman et Jude Law dans la fresque Retour à Cold Mountain (2004) et interprétant l'épouse attentionnée de Russell Crowe dans Cinderella Man (2005).
Source : www.allocine.fr
Voyez Renee Zellweger dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Casque et talons hauts 2009
Appaloosa v.f. 2008
Double jeu 2008
Miss Potter v.f. 2006
Cinderella Man v.f. 2005
Bridget Jones : L'âge de raison 2004
Retour à Cold Mountain 2003
Assez avec l'amour 2003
Chicago v.f. 2002
Le journal de Bridget Jones 2001
Moi, moi-même et Irène 2000
Garde Betty 1999
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Née d'un père suisse et d'une mère norvégienne, Renée Zellweger s'intéresse au métier d'actrice dès le lycée, où elle fait partie du club de théâtre. Après son passage à l'université du Texas, elle décide de se lancer dans la comédie. Elle réussit à décrocher quelques rôles pour la télévision locale, avant de faire de très modestes débuts au cinéma dans la comédie My boyfriend's back. En 1994, Génération 90 lui offre un rôle plus consistant même si elle reste le faire-valoir de Winona Ryder et Ethan Hawke. La même année, les éloges qu'elle reçoit pour son interprétation de Marlene, jeune fiancée d'un psychopathe dans le thriller Love and a .45, l'encouragent à partir s'installer à Los Angeles.
C'est dans la capitale du cinéma que la carrière de la jeune comédienne prend son envol. Après l'avoir vue dans The Whole wide world (1996), Cameron Crowe l'auditionne et lui confie le second rôle féminin de Jerry Maguire, Dorothy Boyd Maguire, au détriment d'actrices comme Winona Ryder ou Marisa Tomei. Malgré sa participation au drame One True Thing aux cotés de Meryl Streep en 1998, Renée Zellweger fait des comédies romantiques sa spécialité. Elle est tour à tour Betty Sizemore, une infirmière amnésique, dans Garde Betty (2000), Anne Archer, la fiancée du presque milliardaire Chris O'Donnell dans Le Célibataire, et Irene, la muse de Jim Carrey dans Moi, moi-même et Irène (id.).
Devenue comédienne de premier plan, Renée Zellweger triomphe en 2001 dans Le Journal de Bridget Jones, film adapté du roman à succès de Helen Fielding. Elle y interprète une jeune femme en mal d'amour, un rôle qu'elle reprendra en 2004 pour la suite Bridget Jones : L'âge de raison. Star à part entière pour films oscarisables, elle intègre des castings prestigieux, poussant la chansonnette aux côtés de Catherine Zeta-Jones et Richard Gere dans la comédie musicale Chicago (2003), donnant la réplique à Nicole Kidman et Jude Law dans la fresque Retour à Cold Mountain (2004) et interprétant l'épouse attentionnée de Russell Crowe dans Cinderella Man (2005).
Source : www.allocine.fr
Voyez Renee Zellweger dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Casque et talons hauts 2009
Appaloosa v.f. 2008
Double jeu 2008
Miss Potter v.f. 2006
Cinderella Man v.f. 2005
Bridget Jones : L'âge de raison 2004
Retour à Cold Mountain 2003
Assez avec l'amour 2003
Chicago v.f. 2002
Le journal de Bridget Jones 2001
Moi, moi-même et Irène 2000
Garde Betty 1999
Bertrand Tavernier
Réalisateur, scénariste et producteur français né le 25 avril 1941 à Lyon.
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Fils de l'écrivain et résistant René Tavernier, le jeune Bertrand découvre le cinéma lors d'un séjour en sanatorium. Monté à Paris après-guerre, il y a pour camarade de lycée Volker Schlöndorff, qui lui fait connaître la Cinémathèque de la rue d'ULM. En cet âge d'or de la cinéphilie, il cofonde le ciné-club Nickel-Odeon, et collabore bientôt à différentes revues, notamment aux grandes rivales que sont les Cahiers et Positif. En 1961, il travaille comme attaché de presse auprès de Georges de Beauregard, le producteur de la Nouvelle vague, grâce auquel il réalise ses premiers courts-métrages, Le Baiser de Judas et Une chance explosive, dans le cadre des films à sketchs Les Baisers et La Chance et l'amour, sortis en 1964. Après avoir poursuivi, en indépendant, son activité d'attaché de presse, il est coscénariste pour Riccardo Freda, un cinéaste qu'il remplacera, 25 ans plus tard, sur le tournage de La Fille de d'Artagnan.
C'est seulement en 1973 qu'il tourne, dans le Lyon de son enfance, son premier long-métrage, L' Horloger de Saint-Paul, adapté de l'oeuvre de Simenon. Ce polar aux accents sociaux, récompensé par le Prix Louis-Delluc et l'Ours d'argent à Berlin, marque aussi sa rencontre avec Philippe Noiret, qui deviendra son acteur-fétiche. Dès ses débuts, l'éclectique Tavernier alterne films d'époque (Que la fête commence, pour lequel il décroche le César du Meilleur réalisateur et du Meilleur scénario en 1976) et oeuvres contemporaines; Une semaine de vacances, en affichant une prédilection pour les sujets de société : il tourne en 1977 Le Juge et l'Assassin, réflexion sur les institutions et leurs excès répressifs avec un Michel Galabru inattendu, puis en 1980 La Mort en direct, analyse prémonitoire des dérives de la télévision.
Imprégné de culture américaine -il est le co-auteur d'un dictionnaire de référence sur le cinéma d'outre-Atlantique-, Bertrand Tavernier adapte en 1980 un roman grinçant de Jim Thompson en resituant l'action dans l'Afrique coloniale (Coup de torchon), puis signe Autour de minuit, lettre d'amour au jazz. Si La Passion Béatrice a pour cadre la Guerre de Cent ans, ce sont des conflits plus contemporains qui hantent bientôt l'oeuvre du cinéaste : la Première Guerre mondiale dans La Vie et rien d'autre (1989) puis Capitaine Conan (1996), la Guerre d'Algérie dans le documentaire La Guerre sans nom, et l'Occupation dans Laissez-passer (2003), qui le voit également s'interroger sur son métier de cinéaste. Dans une veine plus intimiste, il tourne Un dimanche à la campagne, Prix de la mise en scène à Cannes en 1984, et Daddy Nostalgie, deux films tendres et pudiques sur les rapports filiaux, un thème qui lui est cher depuis son premier opus.
Dans les années 90, Bertrand Tavernier, qui déclara au critique Jean-Luc Douin que "les cinéastes sont des sismographes de leur époque", continue d'ausculter la société : dépeignant avec réalisme le quotidien des flics de la Brigade des stups dans L 627 et celui d'un instituteur du Nord de la France, incarné par Philippe Torreton, dans Ça commence aujourd'hui, il reçoit en 1995 l'Ours d'or à Berlin pour L'Appât, constat alarmant sur la violence d'une jeunesse désorientée. Très au fait des dossiers qui agitent sa profession, de la défense de l'exception culturelle au combat contre la censure, le cinéaste s'engage sur bien d'autres fronts, comme vient encore en témoigner le documentaire sur la double peine qu'il signe avec son fils Nils. C'est en revanche avec sa fille Tiffany qu'il co-écrit Holy Lola (2004), exploration de l'univers de l'adoption dans un pays meurtri, le Cambodge, mais aussi, pour la première fois dans l'oeuvre du cinéaste, portrait sensible d'un couple d'aujourd'hui.
Source : www.allocine.fr
Voyez les films de Bertrand Tavernier, disponibles au Superclub Vidéodan.
Holy Lola 2004
Laissez-passer 2001
Ça commence aujourd'hui 1999
L'appât 1995
Fille de d'Artagnan (La) 1994
Que la fête commence 1975
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Fils de l'écrivain et résistant René Tavernier, le jeune Bertrand découvre le cinéma lors d'un séjour en sanatorium. Monté à Paris après-guerre, il y a pour camarade de lycée Volker Schlöndorff, qui lui fait connaître la Cinémathèque de la rue d'ULM. En cet âge d'or de la cinéphilie, il cofonde le ciné-club Nickel-Odeon, et collabore bientôt à différentes revues, notamment aux grandes rivales que sont les Cahiers et Positif. En 1961, il travaille comme attaché de presse auprès de Georges de Beauregard, le producteur de la Nouvelle vague, grâce auquel il réalise ses premiers courts-métrages, Le Baiser de Judas et Une chance explosive, dans le cadre des films à sketchs Les Baisers et La Chance et l'amour, sortis en 1964. Après avoir poursuivi, en indépendant, son activité d'attaché de presse, il est coscénariste pour Riccardo Freda, un cinéaste qu'il remplacera, 25 ans plus tard, sur le tournage de La Fille de d'Artagnan.
C'est seulement en 1973 qu'il tourne, dans le Lyon de son enfance, son premier long-métrage, L' Horloger de Saint-Paul, adapté de l'oeuvre de Simenon. Ce polar aux accents sociaux, récompensé par le Prix Louis-Delluc et l'Ours d'argent à Berlin, marque aussi sa rencontre avec Philippe Noiret, qui deviendra son acteur-fétiche. Dès ses débuts, l'éclectique Tavernier alterne films d'époque (Que la fête commence, pour lequel il décroche le César du Meilleur réalisateur et du Meilleur scénario en 1976) et oeuvres contemporaines; Une semaine de vacances, en affichant une prédilection pour les sujets de société : il tourne en 1977 Le Juge et l'Assassin, réflexion sur les institutions et leurs excès répressifs avec un Michel Galabru inattendu, puis en 1980 La Mort en direct, analyse prémonitoire des dérives de la télévision.
Imprégné de culture américaine -il est le co-auteur d'un dictionnaire de référence sur le cinéma d'outre-Atlantique-, Bertrand Tavernier adapte en 1980 un roman grinçant de Jim Thompson en resituant l'action dans l'Afrique coloniale (Coup de torchon), puis signe Autour de minuit, lettre d'amour au jazz. Si La Passion Béatrice a pour cadre la Guerre de Cent ans, ce sont des conflits plus contemporains qui hantent bientôt l'oeuvre du cinéaste : la Première Guerre mondiale dans La Vie et rien d'autre (1989) puis Capitaine Conan (1996), la Guerre d'Algérie dans le documentaire La Guerre sans nom, et l'Occupation dans Laissez-passer (2003), qui le voit également s'interroger sur son métier de cinéaste. Dans une veine plus intimiste, il tourne Un dimanche à la campagne, Prix de la mise en scène à Cannes en 1984, et Daddy Nostalgie, deux films tendres et pudiques sur les rapports filiaux, un thème qui lui est cher depuis son premier opus.
Dans les années 90, Bertrand Tavernier, qui déclara au critique Jean-Luc Douin que "les cinéastes sont des sismographes de leur époque", continue d'ausculter la société : dépeignant avec réalisme le quotidien des flics de la Brigade des stups dans L 627 et celui d'un instituteur du Nord de la France, incarné par Philippe Torreton, dans Ça commence aujourd'hui, il reçoit en 1995 l'Ours d'or à Berlin pour L'Appât, constat alarmant sur la violence d'une jeunesse désorientée. Très au fait des dossiers qui agitent sa profession, de la défense de l'exception culturelle au combat contre la censure, le cinéaste s'engage sur bien d'autres fronts, comme vient encore en témoigner le documentaire sur la double peine qu'il signe avec son fils Nils. C'est en revanche avec sa fille Tiffany qu'il co-écrit Holy Lola (2004), exploration de l'univers de l'adoption dans un pays meurtri, le Cambodge, mais aussi, pour la première fois dans l'oeuvre du cinéaste, portrait sensible d'un couple d'aujourd'hui.
Source : www.allocine.fr
Voyez les films de Bertrand Tavernier, disponibles au Superclub Vidéodan.
Holy Lola 2004
Laissez-passer 2001
Ça commence aujourd'hui 1999
L'appât 1995
Fille de d'Artagnan (La) 1994
Que la fête commence 1975
Libellés :
Producteur français,
Réalisateur français,
Scénariste français
Dominique Blanc
Actrice française née le 25 avril 1959 à Lyon.
Sa fiche sur Wikipédia
Originaire du Plateau de la Croix-Rousse, quartier populaire de Lyon, la jeune Dominique Blanc rêve de théâtre. Refusée par le Conservatoire et la Rue Blanche, elle s'inscrit au cours Florent, où elle a pour professeurs Francis Huster et Pierre Romans. Venu assister à un spectacle d'élèves autour de Tchekhov, Patrice Chéreau remarque la comédienne et l'engage dans Peer Gynt d'Ibsen, spectacle qui connaît un grand retentissement en 1981. Gardant un mauvais souvenir de sa première expérience de tournage dans Passion de Jean-Luc Godard en 1982, elle entend se consacrer uniquement au théâtre.
En 1986, Régis Wargnier convainc Dominique Blanc de tourner dans son premier opus, La Femme de ma vie. Elle sera nommée au César du Meilleur espoir pour sa composition d'alcoolique. Discrète et sensible, elle s'impose rapidement comme un des seconds rôles les plus précieux du cinéma français, grâce à ses prestations chez Claude Sautet, Claude Chabrol et Louis Malle, elle décroche un César en 1991 pour son rôle de lesbienne dans Milou en mai. Parallèlement, elle reste fidèle à Wargnier avec Indochine lui vaut une deuxième statuette en 1993 et Patrice Chéreau avec La Reine Margot et, plus tard, Ceux qui m'aiment prendront le train avec à la clé une troisième distinction.
Actrice exigeante, Dominique Blanc tourne volontiers dans des premières et deuxièmes oeuvres : la chronique en milieu ouvrier Faut-il aimer Mathilde ? (1993), le film albanais Loin des barbares ou encore le poétique Alors voila, réalisé par son vieux complice Michel Piccoli en 1997. La comédienne voit bientôt son audace récompensée, puisqu'en 2001 elle reçoit le César de la Meilleure actrice pour Stand-by de Roch Stephanik, un film passé inaperçu lors de sa sortie, qui conte la dérive d'une femme esseulée dans un aéroport. Tout aussi bouleversante en toxicomane dans la trilogie que signe Lucas Belvaux en 2003, Blanc laisse libre cours à sa fantaisie dans C'est le bouquet ! de Jeanne Labrune (2003) puis Un fil à la patte de Michel Deville.
Source : www.allocine.fr
Voyez Dominique Blanc dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Sauf le respect que je vous dois 2006
Un fil à la patte 2004
C’est le bouquet ! 2002
Lait de la tendresse humaine (Le) 2001
Sa fiche sur Wikipédia
Originaire du Plateau de la Croix-Rousse, quartier populaire de Lyon, la jeune Dominique Blanc rêve de théâtre. Refusée par le Conservatoire et la Rue Blanche, elle s'inscrit au cours Florent, où elle a pour professeurs Francis Huster et Pierre Romans. Venu assister à un spectacle d'élèves autour de Tchekhov, Patrice Chéreau remarque la comédienne et l'engage dans Peer Gynt d'Ibsen, spectacle qui connaît un grand retentissement en 1981. Gardant un mauvais souvenir de sa première expérience de tournage dans Passion de Jean-Luc Godard en 1982, elle entend se consacrer uniquement au théâtre.
En 1986, Régis Wargnier convainc Dominique Blanc de tourner dans son premier opus, La Femme de ma vie. Elle sera nommée au César du Meilleur espoir pour sa composition d'alcoolique. Discrète et sensible, elle s'impose rapidement comme un des seconds rôles les plus précieux du cinéma français, grâce à ses prestations chez Claude Sautet, Claude Chabrol et Louis Malle, elle décroche un César en 1991 pour son rôle de lesbienne dans Milou en mai. Parallèlement, elle reste fidèle à Wargnier avec Indochine lui vaut une deuxième statuette en 1993 et Patrice Chéreau avec La Reine Margot et, plus tard, Ceux qui m'aiment prendront le train avec à la clé une troisième distinction.
Actrice exigeante, Dominique Blanc tourne volontiers dans des premières et deuxièmes oeuvres : la chronique en milieu ouvrier Faut-il aimer Mathilde ? (1993), le film albanais Loin des barbares ou encore le poétique Alors voila, réalisé par son vieux complice Michel Piccoli en 1997. La comédienne voit bientôt son audace récompensée, puisqu'en 2001 elle reçoit le César de la Meilleure actrice pour Stand-by de Roch Stephanik, un film passé inaperçu lors de sa sortie, qui conte la dérive d'une femme esseulée dans un aéroport. Tout aussi bouleversante en toxicomane dans la trilogie que signe Lucas Belvaux en 2003, Blanc laisse libre cours à sa fantaisie dans C'est le bouquet ! de Jeanne Labrune (2003) puis Un fil à la patte de Michel Deville.
Source : www.allocine.fr
Voyez Dominique Blanc dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Sauf le respect que je vous dois 2006
Un fil à la patte 2004
C’est le bouquet ! 2002
Lait de la tendresse humaine (Le) 2001
Al Pacino
Acteur américain né le 25 avril 1940 à New York.
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Fils de Salvator Pacino tailleur de pierre et Rose Gerard sans profession, tous les deux originaires de la Sicile. Elevé par ses grands-parents maternels James et Kate Gerard. Alfred James Pacino collectionne depuis ses débuts les nominations aux Oscars, mais c'est seulement en 1992 qu'il obtient sa première statuette pour Le Temps d'un week-end (adaptation du roman Parfum de femme de Giovanni Arpino). Vingt ans plus tôt, il connaissait sa première nomination pour son interprétation de Michael Corleone dans Le Parrain de Francis Ford Coppola.
L'acteur passe son enfance dans le Bronx. Envahi par la passion de la comédie, il entre à l'âge de quatorze ans à la High School of Performing Arts de Manhattan, mais, sans diplôme, ni bagages culturels, il se retrouve en difficulté face aux méthodes utilisées. A seize ans, il décide de tout arrêter et passe deux ans à multiplier les petits boulots, pour revenir ensuite à sa vocation première. Après avoir échoué à l'entrée de l'Actors Studio, il poursuit sa formation d'acteur aux cours d'Herbert Berghof et a pour professeur Charles Laughton, qui deviendra un de ses pères spirituels.
Il obtient son premier rôle principal avec la pièce de William Saroyan Hello, Out There et reçoit un Obie (équivalent des Oscars pour le théâtre) pour son interprétation dans The Indian Wants the Bronx. Les rôles au théâtre se succèdent, provocant louanges et critiques, et couronnés de plusieurs prix. En 1966, il est enfin admis à l'Actors Studio, il y rencontre Dustin Hoffman et Robert De Niro, la nouvelle génération d'acteurs formée selon "la méthode "qui occuperont le devant de la scène durant les années 70 jusqu'au milieu des années 80. Il y fait également la connaissance de Lee Strasberg qui deviendra son nouveau mentor.
Quand on le découvre en 1969 dans son premier film Me, Natalie, Al Pacino a déjà une jolie carrière théâtrale derrière lui, mais c'est Panique à Needle Park qui va réellement le révéler et trois ans plus tard c'est la consécration : Le Parrain lui ouvre les portes de la gloire, il a trente-deux ans. S'enchaînent ensuite plusieurs films et plusieurs citations aux Oscars, dont Le Parrain, 2ème partie, c'est sa première rencontre à l'écran avec Robert De Niro, qu'il retrouvera dans Heat dix ans plus tard. Suite à ses interprétations cinématographiques de 1974, il est déclaré meilleur acteur de l'année par La British Academy.
Il connaît par la suite une longue traversée du désert, refuse plusieurs rôles phares : Apocalypse Now, Les Moissons du ciel et Kramer contre Kramer. Il fait de mauvais choix et doit faire face en 1985 à un échec cuisant avec Revolution, son premier film en costume. Le cinéma est alors volontairement délaissé au profit du théâtre, sa passion et première vocation. En 1996 il réalise et produit son premier long métrage (il a co-réalisé The Local Stigmatic en 1990 un film de 56 minutes) : Looking for Richard, un essai sur la mise en scène de la pièce de Shakespeare Richard III (pièce qu'il avait entre autre déjà joué en 1973 à Boston). Mi documentaire, mi adaptation c'est sans doute, le film qui permet le mieux de comprendre l'acteur et d'apprécier son interprétation subtile et riche en nuances qui a fait sa renommée.
Son retour cinématographique a réellement été marqué avec Mélodie pour un meurtre en 1989. Quatre ans plus tard, il retrouve Brian De Palma avec qui il avait déjà signé Scarface pour L'Impasse. Le comédien saura jouer avec son image et varier les rôles, de Dick Tracy, Frankie & Johnny jusqu'au troisième opus du Parrain qui le fait entrer dans la légende. En 2002, il tourne avec deux jeunes cinéastes remarqués. Il est le réalisateur en crise de Sim0ne d'Andrew Niccol et le policier désabusé d'Insomnia de Christopher Nolan.
Reconnu aujourd'hui pour son fabuleux don de faire oublier l'acteur caché derrière un personnage, Al Pacino, tend à présent à multiplier les casquettes comme dans Chinese coffee (adapté de la pièce de théâtre) où il est réalisateur et interprète. En acteur reconnu, celui-ci n'hésite pas à donner la réplique à de jeunes talents comme Colin Farrell dans The Recruit (2003), Ben Affleck et Jennifer Lopez dans Gigli (2003) ou encore Matthew McConaughey dans Two for the Money (2006).
En 2007 il devient expert universitaire en psychiatrie criminelle pour les besoins de 88 minutes de Jon Avnet avant de rejoindre l'équipe de braqueurs cools sur le tournage de Danny Ocean 13 de Steven Soderbergh. La même année, Andrew Niccol, avec qui Al Pacino avait déjà collaboré en 2002 pour Sim0ne, lui offre le rôle de Salvador Dali dans le drame Dali and I : The Surreal Story.
Source : www.allocine.fr
Voyez Al Pacino dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Meurtre légitime 2008
Danny Ocean 13 2007
Pris au jeu 2005
Insomnie 2002
Sim0ne 2002
Donnie Brasco v.f. 1997
Sa fiche sur Wikipédia
Fils de Salvator Pacino tailleur de pierre et Rose Gerard sans profession, tous les deux originaires de la Sicile. Elevé par ses grands-parents maternels James et Kate Gerard. Alfred James Pacino collectionne depuis ses débuts les nominations aux Oscars, mais c'est seulement en 1992 qu'il obtient sa première statuette pour Le Temps d'un week-end (adaptation du roman Parfum de femme de Giovanni Arpino). Vingt ans plus tôt, il connaissait sa première nomination pour son interprétation de Michael Corleone dans Le Parrain de Francis Ford Coppola.
L'acteur passe son enfance dans le Bronx. Envahi par la passion de la comédie, il entre à l'âge de quatorze ans à la High School of Performing Arts de Manhattan, mais, sans diplôme, ni bagages culturels, il se retrouve en difficulté face aux méthodes utilisées. A seize ans, il décide de tout arrêter et passe deux ans à multiplier les petits boulots, pour revenir ensuite à sa vocation première. Après avoir échoué à l'entrée de l'Actors Studio, il poursuit sa formation d'acteur aux cours d'Herbert Berghof et a pour professeur Charles Laughton, qui deviendra un de ses pères spirituels.
Il obtient son premier rôle principal avec la pièce de William Saroyan Hello, Out There et reçoit un Obie (équivalent des Oscars pour le théâtre) pour son interprétation dans The Indian Wants the Bronx. Les rôles au théâtre se succèdent, provocant louanges et critiques, et couronnés de plusieurs prix. En 1966, il est enfin admis à l'Actors Studio, il y rencontre Dustin Hoffman et Robert De Niro, la nouvelle génération d'acteurs formée selon "la méthode "qui occuperont le devant de la scène durant les années 70 jusqu'au milieu des années 80. Il y fait également la connaissance de Lee Strasberg qui deviendra son nouveau mentor.
Quand on le découvre en 1969 dans son premier film Me, Natalie, Al Pacino a déjà une jolie carrière théâtrale derrière lui, mais c'est Panique à Needle Park qui va réellement le révéler et trois ans plus tard c'est la consécration : Le Parrain lui ouvre les portes de la gloire, il a trente-deux ans. S'enchaînent ensuite plusieurs films et plusieurs citations aux Oscars, dont Le Parrain, 2ème partie, c'est sa première rencontre à l'écran avec Robert De Niro, qu'il retrouvera dans Heat dix ans plus tard. Suite à ses interprétations cinématographiques de 1974, il est déclaré meilleur acteur de l'année par La British Academy.
Il connaît par la suite une longue traversée du désert, refuse plusieurs rôles phares : Apocalypse Now, Les Moissons du ciel et Kramer contre Kramer. Il fait de mauvais choix et doit faire face en 1985 à un échec cuisant avec Revolution, son premier film en costume. Le cinéma est alors volontairement délaissé au profit du théâtre, sa passion et première vocation. En 1996 il réalise et produit son premier long métrage (il a co-réalisé The Local Stigmatic en 1990 un film de 56 minutes) : Looking for Richard, un essai sur la mise en scène de la pièce de Shakespeare Richard III (pièce qu'il avait entre autre déjà joué en 1973 à Boston). Mi documentaire, mi adaptation c'est sans doute, le film qui permet le mieux de comprendre l'acteur et d'apprécier son interprétation subtile et riche en nuances qui a fait sa renommée.
Son retour cinématographique a réellement été marqué avec Mélodie pour un meurtre en 1989. Quatre ans plus tard, il retrouve Brian De Palma avec qui il avait déjà signé Scarface pour L'Impasse. Le comédien saura jouer avec son image et varier les rôles, de Dick Tracy, Frankie & Johnny jusqu'au troisième opus du Parrain qui le fait entrer dans la légende. En 2002, il tourne avec deux jeunes cinéastes remarqués. Il est le réalisateur en crise de Sim0ne d'Andrew Niccol et le policier désabusé d'Insomnia de Christopher Nolan.
Reconnu aujourd'hui pour son fabuleux don de faire oublier l'acteur caché derrière un personnage, Al Pacino, tend à présent à multiplier les casquettes comme dans Chinese coffee (adapté de la pièce de théâtre) où il est réalisateur et interprète. En acteur reconnu, celui-ci n'hésite pas à donner la réplique à de jeunes talents comme Colin Farrell dans The Recruit (2003), Ben Affleck et Jennifer Lopez dans Gigli (2003) ou encore Matthew McConaughey dans Two for the Money (2006).
En 2007 il devient expert universitaire en psychiatrie criminelle pour les besoins de 88 minutes de Jon Avnet avant de rejoindre l'équipe de braqueurs cools sur le tournage de Danny Ocean 13 de Steven Soderbergh. La même année, Andrew Niccol, avec qui Al Pacino avait déjà collaboré en 2002 pour Sim0ne, lui offre le rôle de Salvador Dali dans le drame Dali and I : The Surreal Story.
Source : www.allocine.fr
Voyez Al Pacino dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Meurtre légitime 2008
Danny Ocean 13 2007
Pris au jeu 2005
Insomnie 2002
Sim0ne 2002
Donnie Brasco v.f. 1997
24 avril, 2006
Serge Thériault
Acteur québécois né le 23 avril 1948
Sa fiche sur Wikipédia
Autodidacte talentueux, Serge Thériault fit ses débuts très jeune en présentant ses numéros de mime et d’imitations dans les boîtes à chansons. Très rapidement, il joua avec les principales compagnies théâtrales du Québec : Visa le noir, tua le blanc..., La ménagerie de verre, Salut Galarneau, Appelez-moi Stéphane et Monogamy. Serge Thériault participa à titre de comédien ou de scénariste à plusieurs émissions de télévision pour enfants, dont Minute Moumoute et La fricassée. Il fit également partie de la distribution de l’adaptation télévisée de la pièce Les voisins et a incarné le rôle de Bernie dans la série Jamais deux sans toi. En 1976, il rejoint les rangs du trio humoristique Paul et Paul et fonde en 1983, avec Claude Meunier, le célèbre duo Ding et Dong.
Au cinéma, il a joué dans plusieurs films, notamment La maudite galette, Cordelia, Voyage de nuit, Objet, qui a remporté un prix Gémeaux en 1986, Rafales et Le sphinx. Il a travaillé avec Louis Saia dans les films Les Boys, Les Boys II et Les Boys III qui ont récolté un grand succès au box-office. Il a repris son rôle dans Les Boys IV toujours sous la direction de Louis Saia. En 2002, il a tourné dans deux longs métrages: Vendus réalisé par Éric Tessier et Gaz Bar Blues (« Meilleur acteur » Jutra 2004) réalisé par Louis Bélanger. En 2006, il est de la distribution de la série et du film Une histoire de famille réalisé par Michel Poulette.
Il a participé à la série La petite vie dans laquelle il a incarné le rôle de « Moman ». De plus, il a tourné dans la télésérie Omerta I réalisée par Pierre Houle, dans la télésérie Une voix en or, une coproduction franco-québécoise et il a été de la télésérie Le négociateur.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez Serge Thériault dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Histoires de famille 2006
Négociateur (Le) : Saison 2 2006
Les Boys IV 2005
Négociateur (Le) : Saison 1 2005
Vendus 2004
Gaz bar blues 2003
Les boys III 2002
Les Boys II 2001
Crème glacée, chocolat et autres consolations 2001
Un 32 août sur terre 1998
Les Boys 1997
Omerta 1996
Le Sphinx 1995
Ding et Dong aux lundis des Ha ! Ha !
La petite vie 1993
Ding et Dong, le film 1990
Jamais deux sans toi
Sa fiche sur Wikipédia
Autodidacte talentueux, Serge Thériault fit ses débuts très jeune en présentant ses numéros de mime et d’imitations dans les boîtes à chansons. Très rapidement, il joua avec les principales compagnies théâtrales du Québec : Visa le noir, tua le blanc..., La ménagerie de verre, Salut Galarneau, Appelez-moi Stéphane et Monogamy. Serge Thériault participa à titre de comédien ou de scénariste à plusieurs émissions de télévision pour enfants, dont Minute Moumoute et La fricassée. Il fit également partie de la distribution de l’adaptation télévisée de la pièce Les voisins et a incarné le rôle de Bernie dans la série Jamais deux sans toi. En 1976, il rejoint les rangs du trio humoristique Paul et Paul et fonde en 1983, avec Claude Meunier, le célèbre duo Ding et Dong.
Au cinéma, il a joué dans plusieurs films, notamment La maudite galette, Cordelia, Voyage de nuit, Objet, qui a remporté un prix Gémeaux en 1986, Rafales et Le sphinx. Il a travaillé avec Louis Saia dans les films Les Boys, Les Boys II et Les Boys III qui ont récolté un grand succès au box-office. Il a repris son rôle dans Les Boys IV toujours sous la direction de Louis Saia. En 2002, il a tourné dans deux longs métrages: Vendus réalisé par Éric Tessier et Gaz Bar Blues (« Meilleur acteur » Jutra 2004) réalisé par Louis Bélanger. En 2006, il est de la distribution de la série et du film Une histoire de famille réalisé par Michel Poulette.
Il a participé à la série La petite vie dans laquelle il a incarné le rôle de « Moman ». De plus, il a tourné dans la télésérie Omerta I réalisée par Pierre Houle, dans la télésérie Une voix en or, une coproduction franco-québécoise et il a été de la télésérie Le négociateur.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez Serge Thériault dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Histoires de famille 2006
Négociateur (Le) : Saison 2 2006
Les Boys IV 2005
Négociateur (Le) : Saison 1 2005
Vendus 2004
Gaz bar blues 2003
Les boys III 2002
Les Boys II 2001
Crème glacée, chocolat et autres consolations 2001
Un 32 août sur terre 1998
Les Boys 1997
Omerta 1996
Le Sphinx 1995
Ding et Dong aux lundis des Ha ! Ha !
La petite vie 1993
Ding et Dong, le film 1990
Jamais deux sans toi
22 avril, 2006
Andie MacDowell
Actrice américaine née le 21 avril 1958 à Gaffney en Caroline du Sud, USA.
Sa fiche sur Wikipédia
Andie Macdowell fait partie des actrices qui ont débuté leur carrière en tant que mannequin. Remarquée par Calvin Klein, elle tourne pour ce dernier dans une série de spots publicitaires. En 1984, elle décroche son premier rôle dans Greystoke, la legende de Tarzan au côté de Christophe Lambert, puis enchaîne quatre ans après, avec Sexe, mensonges et vidéo de Steven Soderbergh. Le film qui a reçu la Palme d'Or au Festival de Cannes, révèle Andie MacDowell au grand public et la propulse au rang de star du jour au lendemain.
Désormais, elle joue aux côtés des plus grands acteurs tels que Gérard Depardieu dans Carte verte, ou Bruce Willis dans Gentleman et cambrioleur, et tourne sous la direction de Robert Altman dans Le Meneur. Convaincu de son talent, ce dernier lui offre le rôle de Ann Finnigan dans Les chassés-croisés en 1993, une comédie dramatique réunissant Jack Lemmon, Julianne Moore, Tim Robbins, Madeleine Stowe...
La même année, elle est à l'affiche de Le jour de la marmotte avec Bill Murray et contribue au succès de Quatre mariages et un enterrement avec Hugh Grant. Ses aptitudes pour la comédie se confirment dans Michael, Billet pour deux, La Muse, Crush, Multiplicité qui permet à l'actrice de retrouver le réalisateur de Le jour de la marmotte, Harold Ramis. En 2000, Elie Chouraqui lui offre l'opportunité de changer de registre, en la dirigeant dans le drame Des fleurs pour Harrison. On la verra également dans des films plus sombres tels que Ginostra de Manuel Pradal, ou bien dans le thriller Le dernier signe. En 2007, elle prête pour la première fois, sa voix à un personnage animé dans La Ferme en folie.
Source : www.allocine.fr
Voyez Andie MacDowell dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Le dernier signe 2004
Crush 2002
Des fleurs pour Harrison 2001
Billets pour deux 1998
Multiplicité 1996
Les belles de l'Ouest 1994
Quatre mariages et un enterrement 1993
Jour de la marmotte (Le) 1993
Carte verte 1990
Sexe, mensonge et vidéo 1989
Sa fiche sur Wikipédia
Andie Macdowell fait partie des actrices qui ont débuté leur carrière en tant que mannequin. Remarquée par Calvin Klein, elle tourne pour ce dernier dans une série de spots publicitaires. En 1984, elle décroche son premier rôle dans Greystoke, la legende de Tarzan au côté de Christophe Lambert, puis enchaîne quatre ans après, avec Sexe, mensonges et vidéo de Steven Soderbergh. Le film qui a reçu la Palme d'Or au Festival de Cannes, révèle Andie MacDowell au grand public et la propulse au rang de star du jour au lendemain.
Désormais, elle joue aux côtés des plus grands acteurs tels que Gérard Depardieu dans Carte verte, ou Bruce Willis dans Gentleman et cambrioleur, et tourne sous la direction de Robert Altman dans Le Meneur. Convaincu de son talent, ce dernier lui offre le rôle de Ann Finnigan dans Les chassés-croisés en 1993, une comédie dramatique réunissant Jack Lemmon, Julianne Moore, Tim Robbins, Madeleine Stowe...
La même année, elle est à l'affiche de Le jour de la marmotte avec Bill Murray et contribue au succès de Quatre mariages et un enterrement avec Hugh Grant. Ses aptitudes pour la comédie se confirment dans Michael, Billet pour deux, La Muse, Crush, Multiplicité qui permet à l'actrice de retrouver le réalisateur de Le jour de la marmotte, Harold Ramis. En 2000, Elie Chouraqui lui offre l'opportunité de changer de registre, en la dirigeant dans le drame Des fleurs pour Harrison. On la verra également dans des films plus sombres tels que Ginostra de Manuel Pradal, ou bien dans le thriller Le dernier signe. En 2007, elle prête pour la première fois, sa voix à un personnage animé dans La Ferme en folie.
Source : www.allocine.fr
Voyez Andie MacDowell dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Le dernier signe 2004
Crush 2002
Des fleurs pour Harrison 2001
Billets pour deux 1998
Multiplicité 1996
Les belles de l'Ouest 1994
Quatre mariages et un enterrement 1993
Jour de la marmotte (Le) 1993
Carte verte 1990
Sexe, mensonge et vidéo 1989
21 avril, 2006
Roy Dupuis
Acteur québécois né le 21 avril 1963 à New Liskeard en Ontario.
Sa fiche sur Wikipédia
Dès sa sortie de l'École Nationale de Théâtre en 1986, Roy Dupuis se voit offrir des premiers rôles d'importance simultanément au théâtre, au cinéma et à la télévision.
C'est grâce au rôle d'Ovila Pronovost dans la télésérie Les filles de Caleb que Roy gagne le cœur du grand public québécois. Pour cette interprétation remarquable, il remporte le prix Gémeaux du Meilleur Interprète masculin. Son succès télévisuel se poursuit avec le personnage de Michel Gagné dans Scoop et celui d’Oliva Dionne dans la télésérie relatant l'histoire des quintuplées Dionne, Million Dollar Babies. Roy se voit ensuite offrir le rôle-titre dans Maurice Richard: Histoire d'un Canadien, qui lui vaut une nomination au Gala Métrostar comme Meilleur Acteur masculin. Aujourd’hui, la popularité de Roy Dupuis s'étend à la grandeur de la planète grâce à son interprétation de Michael dans la série américaine La Femme Nikita, diffusée dans plus de 50 pays, dont les États-Unis et le Canada. On a pu l’admirer récemment dans Le Dernier Chapitre. Son talent fut encore une fois apprécié du public puisqu’il se voit décerner un prix Métrostar (Meilleur Acteur masculin) pour le rôle du biker Ross Desbiens.
Le théâtre a toujours tenu une place privilégiée dans la vie de Roy Dupuis. On n’a qu’à penser à son interprétation d’Harold dans Harold & Maude, de Jay dans Le Chien ou encore de Roméo dans Roméo & Juliette. Il retrouve la metteur en scène Brigitte Haentjens dans Un oiseau vivant dans la gueule et dans True West.
La carrière cinématographique de Roy Dupuis débute avec le personnage de Renaud dans le film Sortie 234 de Michel Langlois, qui se démarque au Festival international du Nouveau Cinéma. Par la suite, il interprète Yves dans Being at home with Claude de Jean Beaudin (présenté à Cannes dans la section Second Regard) ; Alex dans Cap Tourmente de Michel Langlois ; Pierre-Paul dans C'était le 12 du 12 et Chili avait les blues de Charles Binamé (projeté au Festival Sundance) puis D. Samson dans J’en suis de Claude Fournier.
Sa carrière au grand écran prend peu à peu une direction internationale. Il joue dans Screamers de Christian Duguay (acclamé au Toronto Film Festival), dans Hémoglobine de Peter Svatek et dans Free Money d’Yves Simoneau, où il donne la réplique à Marlon Brando.
En 2002, il a incarné le rôle marquant d’Alexis dans le film le plus populaire de l’histoire du cinéma québécois à ce jour, Séraphin, Un Homme et Son Péché. Au printemps 2004, on a pu le voir interpréter le rôle de Gérald dans Monica la mitraille, de Pierre Houle ; et le rôle-titre dans Jack Paradise, un film de Gilles Noël. Puis, il a interprété Jack Dekker, un golfeur excentrique dans le dernier film d’André Forcier, Les États-Unis d’Albert. À l’automne 2004, il donnait une prestation extraordinaire dans Mémoires affectives, de Francis Leclerc, dans le rôle d’Alexandre un personnage amnésique à la recherche de lui-même, rôle pour lequel il a été honoré du trophée du Meilleur Acteur aux prix Jutra ainsi qu’aux prix Génie 2005.
En 2005, en plus de jouer le rôle-titre du film Maurice Richard de Charles Binamé, Roy Dupuis faisait l’ouverture des Rendez-vous du Cinéma dans un premier long-métrage de Jeremy Peter Allen, Manners of Dying, dans lequel il interprète le rôle bouleversant de Kevin Barlow, un condamné à mort.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez Roy Dupuis dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Doigts croches (Les) 2009
Heure de vérité (L') 2009
Été sans point ni coup sûr (Un) 2008
Mesrine : L'Ennemi public n°1 - Partie 2 2008
Automne de mes souvenirs (L') 2007
J'ai serré la main du Diable 2007
Maurice Richard 2005
Mémoires affectives 2004
Monica la mitraille 2004
Jack Paradise 2003
Les Invasions barbares 2003)
Séraphin, Un Homme et Son Péché 2002
J’en suis ! 1997
L'Homme idéal 1996
Being at home with Claude 1993
Lance et compte - Tous pour un 1991
Filles de Caleb (Les) 1990
Sa fiche sur Wikipédia
Dès sa sortie de l'École Nationale de Théâtre en 1986, Roy Dupuis se voit offrir des premiers rôles d'importance simultanément au théâtre, au cinéma et à la télévision.
C'est grâce au rôle d'Ovila Pronovost dans la télésérie Les filles de Caleb que Roy gagne le cœur du grand public québécois. Pour cette interprétation remarquable, il remporte le prix Gémeaux du Meilleur Interprète masculin. Son succès télévisuel se poursuit avec le personnage de Michel Gagné dans Scoop et celui d’Oliva Dionne dans la télésérie relatant l'histoire des quintuplées Dionne, Million Dollar Babies. Roy se voit ensuite offrir le rôle-titre dans Maurice Richard: Histoire d'un Canadien, qui lui vaut une nomination au Gala Métrostar comme Meilleur Acteur masculin. Aujourd’hui, la popularité de Roy Dupuis s'étend à la grandeur de la planète grâce à son interprétation de Michael dans la série américaine La Femme Nikita, diffusée dans plus de 50 pays, dont les États-Unis et le Canada. On a pu l’admirer récemment dans Le Dernier Chapitre. Son talent fut encore une fois apprécié du public puisqu’il se voit décerner un prix Métrostar (Meilleur Acteur masculin) pour le rôle du biker Ross Desbiens.
Le théâtre a toujours tenu une place privilégiée dans la vie de Roy Dupuis. On n’a qu’à penser à son interprétation d’Harold dans Harold & Maude, de Jay dans Le Chien ou encore de Roméo dans Roméo & Juliette. Il retrouve la metteur en scène Brigitte Haentjens dans Un oiseau vivant dans la gueule et dans True West.
La carrière cinématographique de Roy Dupuis débute avec le personnage de Renaud dans le film Sortie 234 de Michel Langlois, qui se démarque au Festival international du Nouveau Cinéma. Par la suite, il interprète Yves dans Being at home with Claude de Jean Beaudin (présenté à Cannes dans la section Second Regard) ; Alex dans Cap Tourmente de Michel Langlois ; Pierre-Paul dans C'était le 12 du 12 et Chili avait les blues de Charles Binamé (projeté au Festival Sundance) puis D. Samson dans J’en suis de Claude Fournier.
Sa carrière au grand écran prend peu à peu une direction internationale. Il joue dans Screamers de Christian Duguay (acclamé au Toronto Film Festival), dans Hémoglobine de Peter Svatek et dans Free Money d’Yves Simoneau, où il donne la réplique à Marlon Brando.
En 2002, il a incarné le rôle marquant d’Alexis dans le film le plus populaire de l’histoire du cinéma québécois à ce jour, Séraphin, Un Homme et Son Péché. Au printemps 2004, on a pu le voir interpréter le rôle de Gérald dans Monica la mitraille, de Pierre Houle ; et le rôle-titre dans Jack Paradise, un film de Gilles Noël. Puis, il a interprété Jack Dekker, un golfeur excentrique dans le dernier film d’André Forcier, Les États-Unis d’Albert. À l’automne 2004, il donnait une prestation extraordinaire dans Mémoires affectives, de Francis Leclerc, dans le rôle d’Alexandre un personnage amnésique à la recherche de lui-même, rôle pour lequel il a été honoré du trophée du Meilleur Acteur aux prix Jutra ainsi qu’aux prix Génie 2005.
En 2005, en plus de jouer le rôle-titre du film Maurice Richard de Charles Binamé, Roy Dupuis faisait l’ouverture des Rendez-vous du Cinéma dans un premier long-métrage de Jeremy Peter Allen, Manners of Dying, dans lequel il interprète le rôle bouleversant de Kevin Barlow, un condamné à mort.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez Roy Dupuis dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Doigts croches (Les) 2009
Heure de vérité (L') 2009
Été sans point ni coup sûr (Un) 2008
Mesrine : L'Ennemi public n°1 - Partie 2 2008
Automne de mes souvenirs (L') 2007
J'ai serré la main du Diable 2007
Maurice Richard 2005
Mémoires affectives 2004
Monica la mitraille 2004
Jack Paradise 2003
Les Invasions barbares 2003)
Séraphin, Un Homme et Son Péché 2002
J’en suis ! 1997
L'Homme idéal 1996
Being at home with Claude 1993
Lance et compte - Tous pour un 1991
Filles de Caleb (Les) 1990
19 avril, 2006
David La Haye
Acteur québécois né le 19 avril 1966
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez David La Haye dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
La vie avec mon père 2005
Nouvelle-France 2004
La tête dans les nuages 2004
Un crabe dans la tête 2001
L'invention de l’amour 2000
Full Blast 1999
Hasards ou coïncidences 1998
Cosmos 1996
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez David La Haye dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
La vie avec mon père 2005
Nouvelle-France 2004
La tête dans les nuages 2004
Un crabe dans la tête 2001
L'invention de l’amour 2000
Full Blast 1999
Hasards ou coïncidences 1998
Cosmos 1996
17 avril, 2006
Sean Bean
Acteur américain né le 17 avril 1959 à Sheffield (R-U).
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez Sean Bean dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Plan de vol 2005
Le vent du Nord 2005
Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi 2003
Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours 2002
Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau 2001
Anna Karénine v.f. 1997
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez Sean Bean dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Plan de vol 2005
Le vent du Nord 2005
Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi 2003
Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours 2002
Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau 2001
Anna Karénine v.f. 1997
16 avril, 2006
Michel Blanc
Acteur et réalisateur français né le 16 avril 1952 à Courbevoie.
Sa fiche sur Wikipédia
C'est au lycée Pasteur de Neuilly que Michel Blanc rencontre ses futurs partenaires de la troupe du Splendid : Thierry Lhermitte, Josiane Balasko, Christian Clavier, Gérard Jugnot et Marie-Anne Chazel. Ensemble, ils jouent avec succès des sketches de café-théâtre et des pièces qu'ils écrivent eux-mêmes, notamment Amours, coquillages et crustacés qui deviendra sous la houlette de Patrice Leconte dans Les Bronzés (1978), une comédie sur fond de Club Med et de libération sexuelle qui leur apportera la célébrité. Après quelques timides apparitions dans Que la fête commence (1974), Le Locataire (1976) ou La Meilleure façon de marcher, Michel Blanc trouve ainsi avec son personnage-culte de Jean-Claude Dusse, qui ne parvient jamais à "conclure", son premier rôle marquant au cinéma. Ce dernier réapparaîtra un an plus tard dans Les Bronzés font du ski (1979).
Affichant une certaine différence vis-à-vis du reste de la troupe, Michel Blanc continue à travailler en solitaire avec Patrice Leconte. De leur collaboration naissent tout d'abord trois comédies, où l'acteur malingre et moustachu fait toujours figure de dragueur malchanceux : Viens chez moi, j'habite chez une copine (1980), Ma femme s'appelle reviens (1982) et Circulez y'a rien à voir (1983). Restant dans le même registre, il se met lui-même en scène aux côtés de Gérard Lanvin dans Marche à l'ombre, un gros succès de l'année 84. Au sommet de la gloire, Michel Blanc prend alors le risque de surprendre le public en formant avec Gérard Depardieu un couple d'homosexuels dans le sulfureux Tenue de soirée (1986) de Bertrand Blier - un réalisateur qu'il retrouvera pour Merci la vie en 1990 -, en prêtant ses traits au sombre et ambigu Monsieur Hire (1989) et en se glissant dans la peau d'un communiste "épurateur" pour les besoins d'Uranus (1990) de Claude Berri.
La moustache rasée, il revient à la réalisation en 1994 et signe le très remarqué Grosse fatigue, une comédie dans laquelle son double lui mène la vie dure. Après avoir été dirigé par Roberto Benigni dans Le Monstre (1994), il réitère l'expérience de la mise en scène pour les réussis Mauvaise passe (1999), où Daniel Auteuil incarne un professeur de littérature s'improvisant escort boy en Grande-Bretagne, et Embrassez qui vous voudrez (2001). Se faisant rare à l'écran, Michel Blanc s'illustre à la télévision dans des oeuvres aux sujets graves comme L'Affaire Dominici (2003) et 93, rue Lauriston (2004), avant d'effectuer un retour en force au cinéma en 2006 avec Je vous trouve très beau, la première réalisation d'Isabelle Mergault, et surtout Les bronzés 3, amis pour la vie, où il reprend le rôle de l'inénarrable Jean-Claude Dusse devenu roi de la perruque. Eclectique, l'acteur cinquantenaire continue de surprendre en travaillant avec des cinéastes de renom comme André Téchiné (Les Témoins) ou Alain Corneau, pour qui il est le commissaire Blot dans Le Deuxième souffle (2007).
Source : www.allocine.fr
Voyez Michel Blanc dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Fille du RER (La) 2009
Nos 18 ans 2007
Témoins (Les) 2007
Les bronzés 3, amis pour la vie 2006
Je vous trouve très beau 2005
Affaire Dominici (L') 2003
Madame Edouard 2003
Embrassez qui vous voudrez 2002
Les Grands Ducs 1996
Grosse fatigue 1994
Chambre à part 1989
Monsieur Hire 1989
Ma femme s'appelle reviens 1982
Les Bronzés 1978
Sa fiche sur Wikipédia
C'est au lycée Pasteur de Neuilly que Michel Blanc rencontre ses futurs partenaires de la troupe du Splendid : Thierry Lhermitte, Josiane Balasko, Christian Clavier, Gérard Jugnot et Marie-Anne Chazel. Ensemble, ils jouent avec succès des sketches de café-théâtre et des pièces qu'ils écrivent eux-mêmes, notamment Amours, coquillages et crustacés qui deviendra sous la houlette de Patrice Leconte dans Les Bronzés (1978), une comédie sur fond de Club Med et de libération sexuelle qui leur apportera la célébrité. Après quelques timides apparitions dans Que la fête commence (1974), Le Locataire (1976) ou La Meilleure façon de marcher, Michel Blanc trouve ainsi avec son personnage-culte de Jean-Claude Dusse, qui ne parvient jamais à "conclure", son premier rôle marquant au cinéma. Ce dernier réapparaîtra un an plus tard dans Les Bronzés font du ski (1979).
Affichant une certaine différence vis-à-vis du reste de la troupe, Michel Blanc continue à travailler en solitaire avec Patrice Leconte. De leur collaboration naissent tout d'abord trois comédies, où l'acteur malingre et moustachu fait toujours figure de dragueur malchanceux : Viens chez moi, j'habite chez une copine (1980), Ma femme s'appelle reviens (1982) et Circulez y'a rien à voir (1983). Restant dans le même registre, il se met lui-même en scène aux côtés de Gérard Lanvin dans Marche à l'ombre, un gros succès de l'année 84. Au sommet de la gloire, Michel Blanc prend alors le risque de surprendre le public en formant avec Gérard Depardieu un couple d'homosexuels dans le sulfureux Tenue de soirée (1986) de Bertrand Blier - un réalisateur qu'il retrouvera pour Merci la vie en 1990 -, en prêtant ses traits au sombre et ambigu Monsieur Hire (1989) et en se glissant dans la peau d'un communiste "épurateur" pour les besoins d'Uranus (1990) de Claude Berri.
La moustache rasée, il revient à la réalisation en 1994 et signe le très remarqué Grosse fatigue, une comédie dans laquelle son double lui mène la vie dure. Après avoir été dirigé par Roberto Benigni dans Le Monstre (1994), il réitère l'expérience de la mise en scène pour les réussis Mauvaise passe (1999), où Daniel Auteuil incarne un professeur de littérature s'improvisant escort boy en Grande-Bretagne, et Embrassez qui vous voudrez (2001). Se faisant rare à l'écran, Michel Blanc s'illustre à la télévision dans des oeuvres aux sujets graves comme L'Affaire Dominici (2003) et 93, rue Lauriston (2004), avant d'effectuer un retour en force au cinéma en 2006 avec Je vous trouve très beau, la première réalisation d'Isabelle Mergault, et surtout Les bronzés 3, amis pour la vie, où il reprend le rôle de l'inénarrable Jean-Claude Dusse devenu roi de la perruque. Eclectique, l'acteur cinquantenaire continue de surprendre en travaillant avec des cinéastes de renom comme André Téchiné (Les Témoins) ou Alain Corneau, pour qui il est le commissaire Blot dans Le Deuxième souffle (2007).
Source : www.allocine.fr
Voyez Michel Blanc dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Fille du RER (La) 2009
Nos 18 ans 2007
Témoins (Les) 2007
Les bronzés 3, amis pour la vie 2006
Je vous trouve très beau 2005
Affaire Dominici (L') 2003
Madame Edouard 2003
Embrassez qui vous voudrez 2002
Les Grands Ducs 1996
Grosse fatigue 1994
Chambre à part 1989
Monsieur Hire 1989
Ma femme s'appelle reviens 1982
Les Bronzés 1978
Jules Sitruk
Acteur français né le 16 avril 1990 aux Lilas, dans la banlieue parisienne.
Sa fiche sur Wikipédia
Fils d'un compositeur de musiques de films, Jules Sitruk fait ses études à L'Ecole des Enfants du Spectacle. Il tourne dès son plus jeune âge dans plusieurs téléfilms et se fait remarquer dans la série P.J. et dans Sans Famille auprès de Pierre Richard en 2000. La même année, il apparaît dans Le Pain, court-métrage remarqué dans les festivals.
Il partage alors son temps entre le petit et le grand écran, en faisant quelques apparitions dans les séries Docteur Sylvestre et Sauveur Giordano. Ses deux premières grandes expériences au cinéma sont couronnées de succès : Monsieur Batignole en 2002, dans lequel il est un petit Juif protégé par Gérard Jugnot pendant l'Occupation, puis l'année suivante, dans un registre plus léger, Moi César, 10 ans 1/2, 1m39, comédie filmée à hauteur de marmot par Richard Berry.
Devenu l'enfant-star du cinéma français, Jules Sitruk est le fils rebelle de la tyrannique Folcoche dans Vipère au poing en 2003, adaptation par Philippe de Broca du roman d'Hervé Bazin. En 2005, il devient l'un des narrateurs du documentaire oscarisé, La Marche de l'empereur. L'année suivante, il endosse le costume d'un jeune scout casse-cou dans Les Aiguilles rouges, d'après la jeunesse du réalisateur Jean-Francois Davy.
Source : www.allocine.fr
Voyez Jules Sitruk dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Aiguilles rouges (Les) 2006
Marche de l'empereur (La) 2005 (voix)
Vipère au poing 2004
Moi César, 10 ans 1/2, 1m39 2003
Monsieur Batignole 2002
Sa fiche sur Wikipédia
Fils d'un compositeur de musiques de films, Jules Sitruk fait ses études à L'Ecole des Enfants du Spectacle. Il tourne dès son plus jeune âge dans plusieurs téléfilms et se fait remarquer dans la série P.J. et dans Sans Famille auprès de Pierre Richard en 2000. La même année, il apparaît dans Le Pain, court-métrage remarqué dans les festivals.
Il partage alors son temps entre le petit et le grand écran, en faisant quelques apparitions dans les séries Docteur Sylvestre et Sauveur Giordano. Ses deux premières grandes expériences au cinéma sont couronnées de succès : Monsieur Batignole en 2002, dans lequel il est un petit Juif protégé par Gérard Jugnot pendant l'Occupation, puis l'année suivante, dans un registre plus léger, Moi César, 10 ans 1/2, 1m39, comédie filmée à hauteur de marmot par Richard Berry.
Devenu l'enfant-star du cinéma français, Jules Sitruk est le fils rebelle de la tyrannique Folcoche dans Vipère au poing en 2003, adaptation par Philippe de Broca du roman d'Hervé Bazin. En 2005, il devient l'un des narrateurs du documentaire oscarisé, La Marche de l'empereur. L'année suivante, il endosse le costume d'un jeune scout casse-cou dans Les Aiguilles rouges, d'après la jeunesse du réalisateur Jean-Francois Davy.
Source : www.allocine.fr
Voyez Jules Sitruk dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Aiguilles rouges (Les) 2006
Marche de l'empereur (La) 2005 (voix)
Vipère au poing 2004
Moi César, 10 ans 1/2, 1m39 2003
Monsieur Batignole 2002
15 avril, 2006
Emma Thompson
Actrice britanique née le 15 avril 1959 à Londres.
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez Emma Thompson dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Nounou McPhee 2005
Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban 2004
Réellement l’amour 2003
Couleurs primaires 1997
Raison et sentiments 1995
Junior v.f. 1994
Mon père ce héros 1994
Au nom du père 1993
Le Passé revient 1991
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez Emma Thompson dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Nounou McPhee 2005
Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban 2004
Réellement l’amour 2003
Couleurs primaires 1997
Raison et sentiments 1995
Junior v.f. 1994
Mon père ce héros 1994
Au nom du père 1993
Le Passé revient 1991
Josiane Balasko
Actrice et réalisatrice française née le 15 avril 1950 à Paris.
Sa fiche sur Wikipédia
Fille d'un patron de bistrot yougoslave qui décède alors qu'elle est adolescente, Josiane Balasko est élevée par sa mère et sa grand-mère. Très jeune, elle rêve d'embrasser une carrière artistique : après s'être essayée au dessin en intégrant une école de graphisme, et à l'écriture en rédigeant des nouvelles de SF, elle opte pour la comédie et suit les cours de théâtre de Tania Balachova.
Au milieu des années 70, Josiane Balasko rejoint l'équipe du Splendid, alors à la recherche d'une remplaçante pour Valérie Mairesse, partie faire du cinéma. Parallèlement, elle monte ses propres spectacles et incarne Ginette Lacaze dans une pièce écrite par Coluche, à qui elle est souvent comparée. Elle apparait à l'écran en 1973 dans L'An 01 et trouve son premier rôle important dans Les Petits câlins de Jean-Marie Poiré (1978). Jouant de son image d'anti-sex-symbol, l'actrice accède à la notoriété en même temps que ses camarades du Splendid, grâce aux succès des comédies Les Bronzés (1978) puis Les Bronzés font du ski, sans oublier Le Père Noël est une ordure (1982), dans lequel elle incarne l'exaspérante Mme Musquin. Les membres de la troupe prennent bientôt des chemins séparés, mais cette aventure collective sera l'objet d'un culte durable, si bien qu'un troisième volet des Bronzés voit le jour en 2006 : Les bronzés 3, amis pour la vie.
A travers des films comme La Smala ou Nuit d'ivresse (1986) Josiane Balasko impose à l'écran un personnage de "femme ordinaire à qui il arrive des choses extraordinaires" (comme elle le déclarera à la revue Studio). En 1989, grâce à Bertrand Blier le provocateur, elle est la secrétaire pour qui Gérard Depardieu quitte Carole Bouquet dans Trop belle pour toi, une de ses prestations les plus mémorables. L'actrice multiplie dès lors les rôles de composition : militante exaltée dans Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes (1993), alcoolique pathétique dans Un crime au paradis, elle suprend encore incarnant en 2003 un flic à la dérive dans le polar Cette femme-là puis... Marguerite Duras dans J'ai vu tuer Ben Barka.
Mais dès le milieu des années 80, Josiane Balasko a révélé un autre de ses talents, celui de réalisatrice. Ses deux premiers opus, Sac de noeuds (1985) et Les Keufs (1989) témoignent de son anticonformisme et de son goût pour la satire sociale. Ce n'est pourtant qu'avec son quatrième long-métrage, Gazon maudit, sur le thème, alors tabou, de l'homosexualité féminine, qu'elle obtient les suffrages de la critique et du public, ainsi que le César du Meilleur scénario en 1995. Interprétant elle-même dans chacun de ses films des personnages hauts en couleurs, Josiane Balasko porte ensuite à l'écran deux de ses pièces de théâtre à succès : Un grand cri d'amour (1998) et L'Ex-femme de ma vie (2005), puis son livre Cliente (2008).
Source : www.allocine.fr
Voyez Josiane Balasko dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Hérisson (Le) 2009
Auberge rouge (L') 2007
Clef (La) 2007
Les bronzés 3, amis pour la vie 2006
Ex-femme de ma vie (L') 2005
J'ai vu tuer Ben Barka 2005
Cette femme-là 2003
Madame Edouard 2003
Absolument fabuleux 2001
Acteurs (Les) 2000
Un crime au paradis 2000
Vie est à nous! (La) 2005
Didier 1997
Gazon maudit 1995
Trop belle pour toi 1988
Père Noël est une ordure (Le) 1982
Les Bronzés 1978
Sa fiche sur Wikipédia
Fille d'un patron de bistrot yougoslave qui décède alors qu'elle est adolescente, Josiane Balasko est élevée par sa mère et sa grand-mère. Très jeune, elle rêve d'embrasser une carrière artistique : après s'être essayée au dessin en intégrant une école de graphisme, et à l'écriture en rédigeant des nouvelles de SF, elle opte pour la comédie et suit les cours de théâtre de Tania Balachova.
Au milieu des années 70, Josiane Balasko rejoint l'équipe du Splendid, alors à la recherche d'une remplaçante pour Valérie Mairesse, partie faire du cinéma. Parallèlement, elle monte ses propres spectacles et incarne Ginette Lacaze dans une pièce écrite par Coluche, à qui elle est souvent comparée. Elle apparait à l'écran en 1973 dans L'An 01 et trouve son premier rôle important dans Les Petits câlins de Jean-Marie Poiré (1978). Jouant de son image d'anti-sex-symbol, l'actrice accède à la notoriété en même temps que ses camarades du Splendid, grâce aux succès des comédies Les Bronzés (1978) puis Les Bronzés font du ski, sans oublier Le Père Noël est une ordure (1982), dans lequel elle incarne l'exaspérante Mme Musquin. Les membres de la troupe prennent bientôt des chemins séparés, mais cette aventure collective sera l'objet d'un culte durable, si bien qu'un troisième volet des Bronzés voit le jour en 2006 : Les bronzés 3, amis pour la vie.
A travers des films comme La Smala ou Nuit d'ivresse (1986) Josiane Balasko impose à l'écran un personnage de "femme ordinaire à qui il arrive des choses extraordinaires" (comme elle le déclarera à la revue Studio). En 1989, grâce à Bertrand Blier le provocateur, elle est la secrétaire pour qui Gérard Depardieu quitte Carole Bouquet dans Trop belle pour toi, une de ses prestations les plus mémorables. L'actrice multiplie dès lors les rôles de composition : militante exaltée dans Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes (1993), alcoolique pathétique dans Un crime au paradis, elle suprend encore incarnant en 2003 un flic à la dérive dans le polar Cette femme-là puis... Marguerite Duras dans J'ai vu tuer Ben Barka.
Mais dès le milieu des années 80, Josiane Balasko a révélé un autre de ses talents, celui de réalisatrice. Ses deux premiers opus, Sac de noeuds (1985) et Les Keufs (1989) témoignent de son anticonformisme et de son goût pour la satire sociale. Ce n'est pourtant qu'avec son quatrième long-métrage, Gazon maudit, sur le thème, alors tabou, de l'homosexualité féminine, qu'elle obtient les suffrages de la critique et du public, ainsi que le César du Meilleur scénario en 1995. Interprétant elle-même dans chacun de ses films des personnages hauts en couleurs, Josiane Balasko porte ensuite à l'écran deux de ses pièces de théâtre à succès : Un grand cri d'amour (1998) et L'Ex-femme de ma vie (2005), puis son livre Cliente (2008).
Source : www.allocine.fr
Voyez Josiane Balasko dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Hérisson (Le) 2009
Auberge rouge (L') 2007
Clef (La) 2007
Les bronzés 3, amis pour la vie 2006
Ex-femme de ma vie (L') 2005
J'ai vu tuer Ben Barka 2005
Cette femme-là 2003
Madame Edouard 2003
Absolument fabuleux 2001
Acteurs (Les) 2000
Un crime au paradis 2000
Vie est à nous! (La) 2005
Didier 1997
Gazon maudit 1995
Trop belle pour toi 1988
Père Noël est une ordure (Le) 1982
Les Bronzés 1978
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