Acteur et réalisateur américain né le 31 mai 1930 à San Francisco (USA).
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Né d'un père comptable, le jeune Clinton mène avec ses parents une vie de nomade. Il passe son adolescence à Oakland et ne pense pas du tout à devenir acteur. Il fait des petits boulots sans grande conviction. Puis il part à l'armée où il fait des rencontres décisives et obtient du travail chez Universal. Il fait sa première apparition en 1955 dans La Revanche de la créature puis enchaîne les petits rôles dans cinq films où personne ne le remarque véritablement.
Il commence son ascension grâce à un rôle de cow-boy dans un feuilleton, Rawhide. Entre 1956 et 1958, il apparaît successivement dans Ne dites jamais adieu, La Corde est prête, Escapade au Japon, et C'est la guerre. Mais, il deviendra véritablement populaire grâce à Sergio Leone et la trilogie Pour une poignee de dollars, Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la brute et le truand. Mais Hollywood ne croit toujours pas en lui et Eastwood va devoir s'imposer. Il crée sa propre maison de production, Malpaso, et devient ainsi plus indépendant. De sa rencontre avec Don Siegel naît une belle amitié et une longue collaboration (cinq films dont Les Proies, Un sherif a New York ou L' Evade d'Alcatraz).
Il tourne avec Vittorio De Sica un film à sketch Les Sorcières puis Pendez-les haut et court. En 1969, il est enfin reconnu avec Quand les aigles attaquent. Eastwood profite de cette notoriété naissance pour réaliser en 1971 Un frisson dans la nuit. Ce premier long métrage n'est pas couronné de succès, contrairement à L'Inspecteur Harry de Don Siegel. Son rôle de flic violent ne lui attire pas que des sympathies. Il est accusé de fascisme, de machisme... Conséquence : ses rôles ou ses films suivants sont méprisés par une grande partie de la critique, qui réserve un mauvais accueil à la comédie dramatique Breezy. Le film est un échec au box-office, qui affecte Clint Eastwood. L'acteur attendra quinze ans, et Bird, avant de réaliser un autre film dont il n'est pas l'acteur principal.
Il revient au film d'action avec une suite de L'Inspecteur Harry qui est un véritable succès et continue de réaliser et de jouer dans ses films : L'Homme des hautes plaines (1972), Josey Wales hors la loi (1976). Honkytonk man qu'il réalise en 1982 marque un tournant dans sa carrière : Eastwood devient un réalisateur à part entière. Confirmation : Pale Rider est projeté à Cannes en 1985 et Jean-Luc Godard lui dédie son film Detective.
Ayant d'autres intérêts que le cinéma, il est élu maire de sa ville Carmel en Californie en 1986 pour deux ans, période durant laquelle il ne réalise que deux films dont Bird. Ce film sur la vie de Charlie Parker qui confirme la passion du réalisateur pour le jazz, se retrouve en compétition pour la palme d'or au Festival de Cannes. En 1992, c'est la consécration avec Impitoyable, un western crépusculaire qui remporte quatre Oscars dont ceux du Meilleur film et du Meilleur réalisateur. A 65 ans, Eastwood joue son premier rôle romantique dans son film Sur la route de Madison. Les critiques applaudissent et le public suit. Il enchaîne avec Minuit dans le jardin du bien et du mal (dans lequel il fait jouer sa fille Alison Eastwood), puis retrouve les casquettes de réalisateur et d'acteur dans ses films suivants : Juge coupable, Les pionniers de l’espace et Créance de sang.
En 2003, Clint Eastwood signe le drame Mystic river, porté par Sean Penn, Tim Robbins et Kevin Bacon, et gagne sa quatrième invitation pour le Festival de Cannes après Pale Rider en 1985, Bird en 1988 et Chasseur blanc, coeur noir en 1990. Deux ans plus tard, avec le drame La fille à un million de dollars, le cinéaste obtient une nouvelle consécration en remportant, douze ans après Impitoyable, l'Oscar du Meilleur film et du Meilleur réalisateur, ses comédiens Hilary Swank et Morgan Freeman repartant avec les statuettes de La Meilleure actrice et du Meilleur second rôle masculin. Il décide alors de relever un nouveau défi en réalisant un dyptique sur la bataille d'Iwo Jima prenant place lors de la Seconde Guerre Mondiale. Pour la première fois, avec Mémoires de nos pères et Lamps before the wind, un cinéaste fait le choix de montrer les points de vue des deux camps (américains et japonais) en leur consacrant un film chacun.
Source : www.allocine.fr
Voyez Clint Eastwood dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Gran Torino v.f. 2009
Échange (L') 2008
Lettres d'Iwo Jima 2006
Mémoires de nos pères 2006
La fille à un million de dollars 2004
Mystic River v.f. 2003
Les pionniers de l’espace 2000
Sur la route de Madison 1995
Impitoyable 1992
Bon, la brute et le truand (Le) 1968
31 mai, 2006
Colin Farrell
Acteur irlandais né le 31 mai 1976 à Castleknock (Irlande)
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Fils et neveu de footballeurs, Colin Farrell envisage un temps une carrière sportive avant de se tourner vers la comédie. Il suit alors les cours de la Gaiety Drama School de Dublin mais abandonne ses études avant la fin de son cursus, ce qui ne l'empêche pas de jouer dans The War zone (1999), le premier long métrage de Tim Roth. Apparu ensuite dans Ordinary decent criminal (2000) aux côtés de Kevin Spacey, il se fait connaître du grand public en 2001 grâce à son rôle du soldat Bozz dans Tigerland de Joel Schumacher. Colin Farrell retrouve ce dernier pour les besoins du thriller téléphonique La cabine (2002) et une apparition clin d'oeil en voyou dans le drame Veronica Guerin.
Parallèlement à une vie privée tumultueuse qui fait le bonheur des tabloïds - on lui prête une aventure avec Britney Spears, cette "belle gueule" irlandaise fait fureur à Hollywood : volant la vedette à Bruce Willis dans le film de guerre Le combat du Lieutenant Hart (2002), il a l'honneur d'affronter à l'écran Tom Cruise dans Rapport minoritaire, Ben Affleck dans Daredevil (2003) et son idole Al Pacino dans le thriller d'espionnage La Recrue. Après avoir intégré la S.W.A.T. en 2003, il accède à la consécration en se voyant proposer par Oliver Stone le rôle d'Alexandre le Grand. Son ascension se poursuit avec une autre fresque historique : Nouveau monde (2005) de l'adulé Terrence Malick. Travaillant dorénavant avec les plus grands cinéastes américains, il ne tarde pas à reprendre, sous la direction de Michael Mann, le rôle tenu à l'origine par Don Johnson dans l'adaptation de la série Miami vice - Deux flics à Miami.
Source : www.allocine.fr
Voyez Colin Farrell dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Bienvenue à Bruges 2008
En toute loyauté 2008
Rêve de Cassandre (Le) 2007
Alexandre 2006
Nouveau monde 2005
Intermission v.f. 2003
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Fils et neveu de footballeurs, Colin Farrell envisage un temps une carrière sportive avant de se tourner vers la comédie. Il suit alors les cours de la Gaiety Drama School de Dublin mais abandonne ses études avant la fin de son cursus, ce qui ne l'empêche pas de jouer dans The War zone (1999), le premier long métrage de Tim Roth. Apparu ensuite dans Ordinary decent criminal (2000) aux côtés de Kevin Spacey, il se fait connaître du grand public en 2001 grâce à son rôle du soldat Bozz dans Tigerland de Joel Schumacher. Colin Farrell retrouve ce dernier pour les besoins du thriller téléphonique La cabine (2002) et une apparition clin d'oeil en voyou dans le drame Veronica Guerin.
Parallèlement à une vie privée tumultueuse qui fait le bonheur des tabloïds - on lui prête une aventure avec Britney Spears, cette "belle gueule" irlandaise fait fureur à Hollywood : volant la vedette à Bruce Willis dans le film de guerre Le combat du Lieutenant Hart (2002), il a l'honneur d'affronter à l'écran Tom Cruise dans Rapport minoritaire, Ben Affleck dans Daredevil (2003) et son idole Al Pacino dans le thriller d'espionnage La Recrue. Après avoir intégré la S.W.A.T. en 2003, il accède à la consécration en se voyant proposer par Oliver Stone le rôle d'Alexandre le Grand. Son ascension se poursuit avec une autre fresque historique : Nouveau monde (2005) de l'adulé Terrence Malick. Travaillant dorénavant avec les plus grands cinéastes américains, il ne tarde pas à reprendre, sous la direction de Michael Mann, le rôle tenu à l'origine par Don Johnson dans l'adaptation de la série Miami vice - Deux flics à Miami.
Source : www.allocine.fr
Voyez Colin Farrell dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Bienvenue à Bruges 2008
En toute loyauté 2008
Rêve de Cassandre (Le) 2007
Alexandre 2006
Nouveau monde 2005
Intermission v.f. 2003
29 mai, 2006
Romain Duris
Acteur français né à Paris le 28 mai 1974.
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Issu d'une famille d'artistes, Romain Duris intègre après le bac une école de dessin. Mais il est bientôt repéré dans la rue par un directeur de casting à la recherche des héros du Péril jeune, téléfilm réalisé par Cédric Klapisch dans le cadre de la série d'Arte Les Années lycée en 1993. Le succès de ce portrait de groupe, dans lequel figurent également les débutants Vincent Elbaz et Hélène De Fougerolles, est tel que le film sort en salles deux ans plus tard. Entre-temps, Duris apparaît dans Frères : la roulette rouge (1994), un téléfilm signé par un autre cinéaste prometteur, Olivier Dahan.
Look débraillé, sourire charmeur, et de l'énergie à revendre... Romain Duris ne tarde pas à devenir l'un des comédiens les plus populaires de sa génération. Sollicité par la jeune garde du cinéma français, il retrouve Olivier Dahan pour le sombre Déjà mort, mais devient surtout l'acteur-fétiche de Cédric Klapisch : glandeur à dreadlocks dans Chacun cherche son chat (1996), il incarne le père de... Jean-Paul Belmondo dans le film d'anticipation Peut-être (1999). Une forte complicité se noue également avec Tony Gatlif, qui l'emmène en Roumanie à la découverte du monde gitan dans Gadjo Dilo, avec au bout de cette quête initiatique une nomination au César du Meilleur espoir en 1999.
En 2002, l'énorme succès de L'Auberge espagnole, comédie de Cédric Klapisch qui relate le quotidien d'une bande d'étudiants Erasmus, marque un tournant dans la carrière de Romain Duris. S'il continue d'être à l'affiche de premiers films audacieux, d'Osmose au quasi-expérimental Shimkent hotel en passant par 17 fois Cécile Cassard, il prend désormais part à des projets de plus grande ampleur : donnant la réplique à Isabelle Adjani dans Adolphe, il enfile le costume de gentleman cambrioleur dans la superproduction Arsène Lupin (2004). Toujours fidèle à Tony Gatlif dans Exils et Cédric Klapisch dans Les Poupées russes, il impressionne dans De battre mon coeur s'est arrêté de Jacques Audiard (2005) : fébrile et habité, il interprète un agent immobilier véreux sauvé par le piano.
En 2006, il tourne Dans Paris de Christophe Honoré, aux côtés de Louis Garrel, puis il s'impose dans le rôle de Molière, que lui confie en 2007 l'ancien journaliste de Studio, Laurent Tirard. La même année, il joue dans le troisième long-métrage de son ami Raphael Fejtö, L'Age d'homme... maintenant ou jamais, variation sur la crise de la trentaine.
2008 est une année toute aussi riche. Le mois de février marque sa sixième collaboration avec Cédric Klapisch, pour le film Paris. Il y est Pierre, un Parisien malade qui observe les autres vivre sous ses yeux. En septembre, il est attendu dans le rôle de Nathan, le héros principal du roman de Guillaume Musso, Et après, l'un des grands best-sellers de ces dernières années.
Source : www.allocine.fr
Voyez Romain Duris dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Persécution 2009
Paris 2008
Âge d'homme (L') 2007
Molière 2007
De battre mon coeur s'est arrêté 2005
Les poupées Russes 2005
Arsène Lupin 2004
L'Auberge espagnole 2002
Filles perdues, cheveux gras 2002
Being light 2001
Chacun cherche son chat 1995
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Issu d'une famille d'artistes, Romain Duris intègre après le bac une école de dessin. Mais il est bientôt repéré dans la rue par un directeur de casting à la recherche des héros du Péril jeune, téléfilm réalisé par Cédric Klapisch dans le cadre de la série d'Arte Les Années lycée en 1993. Le succès de ce portrait de groupe, dans lequel figurent également les débutants Vincent Elbaz et Hélène De Fougerolles, est tel que le film sort en salles deux ans plus tard. Entre-temps, Duris apparaît dans Frères : la roulette rouge (1994), un téléfilm signé par un autre cinéaste prometteur, Olivier Dahan.
Look débraillé, sourire charmeur, et de l'énergie à revendre... Romain Duris ne tarde pas à devenir l'un des comédiens les plus populaires de sa génération. Sollicité par la jeune garde du cinéma français, il retrouve Olivier Dahan pour le sombre Déjà mort, mais devient surtout l'acteur-fétiche de Cédric Klapisch : glandeur à dreadlocks dans Chacun cherche son chat (1996), il incarne le père de... Jean-Paul Belmondo dans le film d'anticipation Peut-être (1999). Une forte complicité se noue également avec Tony Gatlif, qui l'emmène en Roumanie à la découverte du monde gitan dans Gadjo Dilo, avec au bout de cette quête initiatique une nomination au César du Meilleur espoir en 1999.
En 2002, l'énorme succès de L'Auberge espagnole, comédie de Cédric Klapisch qui relate le quotidien d'une bande d'étudiants Erasmus, marque un tournant dans la carrière de Romain Duris. S'il continue d'être à l'affiche de premiers films audacieux, d'Osmose au quasi-expérimental Shimkent hotel en passant par 17 fois Cécile Cassard, il prend désormais part à des projets de plus grande ampleur : donnant la réplique à Isabelle Adjani dans Adolphe, il enfile le costume de gentleman cambrioleur dans la superproduction Arsène Lupin (2004). Toujours fidèle à Tony Gatlif dans Exils et Cédric Klapisch dans Les Poupées russes, il impressionne dans De battre mon coeur s'est arrêté de Jacques Audiard (2005) : fébrile et habité, il interprète un agent immobilier véreux sauvé par le piano.
En 2006, il tourne Dans Paris de Christophe Honoré, aux côtés de Louis Garrel, puis il s'impose dans le rôle de Molière, que lui confie en 2007 l'ancien journaliste de Studio, Laurent Tirard. La même année, il joue dans le troisième long-métrage de son ami Raphael Fejtö, L'Age d'homme... maintenant ou jamais, variation sur la crise de la trentaine.
2008 est une année toute aussi riche. Le mois de février marque sa sixième collaboration avec Cédric Klapisch, pour le film Paris. Il y est Pierre, un Parisien malade qui observe les autres vivre sous ses yeux. En septembre, il est attendu dans le rôle de Nathan, le héros principal du roman de Guillaume Musso, Et après, l'un des grands best-sellers de ces dernières années.
Source : www.allocine.fr
Voyez Romain Duris dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Persécution 2009
Paris 2008
Âge d'homme (L') 2007
Molière 2007
De battre mon coeur s'est arrêté 2005
Les poupées Russes 2005
Arsène Lupin 2004
L'Auberge espagnole 2002
Filles perdues, cheveux gras 2002
Being light 2001
Chacun cherche son chat 1995
28 mai, 2006
Isabelle Carré
Actrice française née le 28 mai 1971 à Paris.
Sa fiche sur Wikipédia
Fille d'un designer et d'une secrétaire, la jeune Isabelle Carré prend des cours pour devenir danseuse. Si elle doit bientôt renoncer à son ambition, cette expérience lui donne le goût de la scène. Multipliant alors les cours de théâtre, la jeune comédienne, qui voue une admiration sans bornes à Romy Schneider, choisit pour ses auditions un passage de César et Rosalie.
En 1988, Isabelle Carré est la fille de Daniel Auteuil dans Romuald et Juliette de Coline Serreau, sa première apparition à l'écran, puis celle de Catherine Deneuve dans La Reine blanche en 1990. Mais c'est grâce à son rôle d'étudiante dans Beau fixe de Christian Vincent que l'actrice est remarquée en 1992. Elle obtient d'ailleurs pour ce film la première de ses trois nominations au César du Meilleur espoir féminin. Enchaînant les projets sur les planches, elle décroche des rôles secondaires dans de grands films en costumes; Le Hussard sur le toit et Beaumarchais l'insolent.
En 1997, le visage angélique d'Isabelle Carré est de tous les plans dans La Femme défendue, tourné en caméra subjective par Philippe Harel, une performance qui lui vaut notamment le Prix Romy Schneider. De plus en plus sollicitée, l'actrice participe à la "fantaisie" Ça ira mieux demain de Jeanne Labrune et campe une mère junkie dans Mercredi folle journée. Mais c'est son émouvante composition d'amoureuse atteinte de la maladie d'Alzheimer dans Se souvenir des belles choses de Zabou Breitman qui lui apporte la consécration.
Jeune première devenue une valeur sûre du cinéma français, Isabelle Carré, auréolée du César de la Meilleure actrice en 2003, fait ensuite partie du quatuor amoureux réuni par Noémie Lvovsky dans Les Sentiments et part au Cambodge tourner Holy Lola, sous la direction de Bertrand Tavernier. De retour en France, elle retrouve le comédien Vincent Lindon pour L'Avion, fable fantastique signée Cédric Kahn. La même année, elle donne la réplique à l'intriguant Benoît Poelvoorde dans Entre ses mains d'Anne Fontaine, un film angoissant qui offre à Benoît Poelvoorde son premier rôle dramatique sur grand écran.
Source : www.allocine.fr
Voyez Isabelle Carré dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Anna M. 2007
Coeurs 2006
Eros thérapie 2004
Holy Lola 2004
Entre ses mains 2004
À la folie... Pas du tout 2003
Bella Ciao 2001
Se souvenir des belles choses 2001
Ça ira mieux demain 2000
La Bûche 1999
Les Enfants du marais 1998
La femme défendue 1997
Beaumarchais l'insolent 1995
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Fille d'un designer et d'une secrétaire, la jeune Isabelle Carré prend des cours pour devenir danseuse. Si elle doit bientôt renoncer à son ambition, cette expérience lui donne le goût de la scène. Multipliant alors les cours de théâtre, la jeune comédienne, qui voue une admiration sans bornes à Romy Schneider, choisit pour ses auditions un passage de César et Rosalie.
En 1988, Isabelle Carré est la fille de Daniel Auteuil dans Romuald et Juliette de Coline Serreau, sa première apparition à l'écran, puis celle de Catherine Deneuve dans La Reine blanche en 1990. Mais c'est grâce à son rôle d'étudiante dans Beau fixe de Christian Vincent que l'actrice est remarquée en 1992. Elle obtient d'ailleurs pour ce film la première de ses trois nominations au César du Meilleur espoir féminin. Enchaînant les projets sur les planches, elle décroche des rôles secondaires dans de grands films en costumes; Le Hussard sur le toit et Beaumarchais l'insolent.
En 1997, le visage angélique d'Isabelle Carré est de tous les plans dans La Femme défendue, tourné en caméra subjective par Philippe Harel, une performance qui lui vaut notamment le Prix Romy Schneider. De plus en plus sollicitée, l'actrice participe à la "fantaisie" Ça ira mieux demain de Jeanne Labrune et campe une mère junkie dans Mercredi folle journée. Mais c'est son émouvante composition d'amoureuse atteinte de la maladie d'Alzheimer dans Se souvenir des belles choses de Zabou Breitman qui lui apporte la consécration.
Jeune première devenue une valeur sûre du cinéma français, Isabelle Carré, auréolée du César de la Meilleure actrice en 2003, fait ensuite partie du quatuor amoureux réuni par Noémie Lvovsky dans Les Sentiments et part au Cambodge tourner Holy Lola, sous la direction de Bertrand Tavernier. De retour en France, elle retrouve le comédien Vincent Lindon pour L'Avion, fable fantastique signée Cédric Kahn. La même année, elle donne la réplique à l'intriguant Benoît Poelvoorde dans Entre ses mains d'Anne Fontaine, un film angoissant qui offre à Benoît Poelvoorde son premier rôle dramatique sur grand écran.
Source : www.allocine.fr
Voyez Isabelle Carré dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Anna M. 2007
Coeurs 2006
Eros thérapie 2004
Holy Lola 2004
Entre ses mains 2004
À la folie... Pas du tout 2003
Bella Ciao 2001
Se souvenir des belles choses 2001
Ça ira mieux demain 2000
La Bûche 1999
Les Enfants du marais 1998
La femme défendue 1997
Beaumarchais l'insolent 1995
24 mai, 2006
Kristin Scott-Thomas
Actrice britannique née le 24 mai 1960 à Redruth (R-U).
Sa fiche sur Wikipedia
Kristin Scott Thomas est à peine âgée de 3 ans lorsque son père, pilote de la Bristish Royal Navy, décède dans un accident d'avion. Sept ans plus tard, c'est au tour de son beau-père, également militaire, de trouver la mort dans des circonstances similaires. Marquée par ces deux événements dramatiques, elle quitte la Grande-Bretagne et son Dorset natal pour s'installer en France en tant que jeune fille au pair. Sa formation (Central School of Speech and Drama, Ecole Nationale des Arts et Techniques du théâtre de Paris) et son bilinguisme la prédestinent à une carrière internationale. Ainsi, après quelques apparitions dans des séries télévisées comme L'Amour en héritage, elle débute en 1986 au cinéma dans Under the cherry moon, un film mis en scène et interprèté par Prince.
Mais c'est son léger accent britannique qui lui offre en France ses premiers vrais rôles dans des fictions comme Agent trouble (1987) de Jean-Pierre Mocky, Force majeure (1989) de Pierre Jolivet ou Le Bal du gouverneur (1990) de Marie-France Pisier. Quelque peu éclipsée par Emmanuelle Seigner dans Lunes de fiel (1992), elle accède à la célébrité en côtoyant Hugh Grant dans la comédie romantique Quatre mariages et un enterrement (1993). Son charme rétro et sa distinction en font une héroïne dramatique idéale pour Richard III (1995), une transposition de l'oeuvre de William Shakespeare dans les années trente fascisantes. Toujours sur la pente ascendante, elle décroche une nomination aux Oscars en 1997 grâce au Patient anglais.
Dès lors, Kristin Scott Thomas donne la réplique aux plus grands acteurs contemporains dans des registres variés : Tom Cruise dans Mission : impossible (1996), Robert Redford dans L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (1998), Harrison Ford dans L'Ombre d'un doute (1999) ou encore Sean Penn dans Il suffit d'une nuit (2000). De retour en Europe, elle s'illustre dans des films d'époque, empreints d'un certain prestige comme Un week-end à Gosford Park (2002), Arsène Lupin (2004), où elle fait figure d'ensorcelante comtesse de Cagliostro, et Man to man (2005). Tout ceci en ne reniant pas la comédie populaire comme le montre sa présence au sein du casting trois étoiles de La doublure (2006) de Francis Veber.
Source : www.allocine.fr
Voyez Kristin Scott-Thomas dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Il y a longtemps que je t'aime 2008
Doublure (La) 2006
Ne le dis à personne 2006
Arsène Lupin 2004
Week-end à Gosford Park (Un) 2002
La maison sur la falaise 2001
Bille en tête 1998
L'Homme qui murmurait à l’oreille des chevaux 1998
Quatre mariages et un enterrement 1993
Méridienne (La) 1988
Sa fiche sur Wikipedia
Kristin Scott Thomas est à peine âgée de 3 ans lorsque son père, pilote de la Bristish Royal Navy, décède dans un accident d'avion. Sept ans plus tard, c'est au tour de son beau-père, également militaire, de trouver la mort dans des circonstances similaires. Marquée par ces deux événements dramatiques, elle quitte la Grande-Bretagne et son Dorset natal pour s'installer en France en tant que jeune fille au pair. Sa formation (Central School of Speech and Drama, Ecole Nationale des Arts et Techniques du théâtre de Paris) et son bilinguisme la prédestinent à une carrière internationale. Ainsi, après quelques apparitions dans des séries télévisées comme L'Amour en héritage, elle débute en 1986 au cinéma dans Under the cherry moon, un film mis en scène et interprèté par Prince.
Mais c'est son léger accent britannique qui lui offre en France ses premiers vrais rôles dans des fictions comme Agent trouble (1987) de Jean-Pierre Mocky, Force majeure (1989) de Pierre Jolivet ou Le Bal du gouverneur (1990) de Marie-France Pisier. Quelque peu éclipsée par Emmanuelle Seigner dans Lunes de fiel (1992), elle accède à la célébrité en côtoyant Hugh Grant dans la comédie romantique Quatre mariages et un enterrement (1993). Son charme rétro et sa distinction en font une héroïne dramatique idéale pour Richard III (1995), une transposition de l'oeuvre de William Shakespeare dans les années trente fascisantes. Toujours sur la pente ascendante, elle décroche une nomination aux Oscars en 1997 grâce au Patient anglais.
Dès lors, Kristin Scott Thomas donne la réplique aux plus grands acteurs contemporains dans des registres variés : Tom Cruise dans Mission : impossible (1996), Robert Redford dans L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (1998), Harrison Ford dans L'Ombre d'un doute (1999) ou encore Sean Penn dans Il suffit d'une nuit (2000). De retour en Europe, elle s'illustre dans des films d'époque, empreints d'un certain prestige comme Un week-end à Gosford Park (2002), Arsène Lupin (2004), où elle fait figure d'ensorcelante comtesse de Cagliostro, et Man to man (2005). Tout ceci en ne reniant pas la comédie populaire comme le montre sa présence au sein du casting trois étoiles de La doublure (2006) de Francis Veber.
Source : www.allocine.fr
Voyez Kristin Scott-Thomas dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Il y a longtemps que je t'aime 2008
Doublure (La) 2006
Ne le dis à personne 2006
Arsène Lupin 2004
Week-end à Gosford Park (Un) 2002
La maison sur la falaise 2001
Bille en tête 1998
L'Homme qui murmurait à l’oreille des chevaux 1998
Quatre mariages et un enterrement 1993
Méridienne (La) 1988
16 mai, 2006
Pierce Brosnan
Acteur et producteur irlandais né le 16 mai 1953 à Drogheda en Irlande.
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez Pierce Brosnan dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Écrivain fantôme (L') 2010
Mamma Mia ! v.f. 2008
Pour le meilleur et pour le pire 2007
Evelyn v.f. 2003
Le tailleur de Panama 2001
Grey Owl v.f. 1999
Le monde ne suffit pas 1999
L'affaire Thomas Crown 1998
Sa fiche sur Wikipédia
Voyez Pierce Brosnan dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Écrivain fantôme (L') 2010
Mamma Mia ! v.f. 2008
Pour le meilleur et pour le pire 2007
Evelyn v.f. 2003
Le tailleur de Panama 2001
Grey Owl v.f. 1999
Le monde ne suffit pas 1999
L'affaire Thomas Crown 1998
Denise Filiatrault
Actrice et réalisatrice québécoise née le 16 mai 1931 à Montréal.
Sa fiche sur Wikipédia
Grande dame du théâtre et du cinéma québécois, Denise Filiatrault est l'une des vedettes les plus connues au Québec. Elle s'est d'abord imposée par son talent de comédienne dans le feuilleton Les belles histoires des pays d'en haut de Claude Henri Grignon en 1956; puis dans la télésérie Moi et l'autre en 1964; et, enfin, dans Les Plouffe en 1981 et dans Le Crime d'Ovide Plouffe en 1984.
En 1968, dans Les belles-sœurs de Michel Tremblay, Mme Filiatrault a créé le personnage de Rose Ouimet. Elle a joué plusieurs rôles : au cinéma d'abord, dans les films suivants : La mort d'un bûcheron de Gilles Carle (1973) et Il était une fois dans l'Est d'André Brassard (1973); puis dans les productions franco-québécoises telles que Par le sang des autres (1974), Au revoir... à lundi (1979) et Mado, un film de Claude Sautet (1976).
Auteure, comédienne, actrice, réalisatrice, elle poursuit sa carrière au théâtre comme metteur en scène où elle a su s'imposer par des productions telles que Les Fridolinades, Les fourberies de Scapin, Demain matin Montréal m'attend de Michel Tremblay, Les leçons de Maria Callas, Les palmes de M. Schutz et plus récemment Cabaret présenté au Théâtre du Rideau Vert. Avec cette détermination dont elle a toujours su faire preuve, elle aborde le monde de la réalisation dans le domaine du cinéma en signant les films C't'à ton tour Laura Cadieux I et C't'à ton tour Laura Cadieux II, L’odyssée d’Alice Tremblay et tout récemment Ma vie en cinémascope.
Au cours de sa carrière artistique, Denise Filiatrault a reçu plusieurs marques de reconnaissance, notamment le prix hommage Gémeaux pour l'ensemble de sa carrière en 1995; le prix Victor-Morin pour l'ensemble de son œuvre en 1991 et le Masque (prix du public) qu'elle a reçu à deux reprises en 1995 et en 1996. En 1999, elle a reçu le Prix du Gouverneur général pour les arts de la scène. Mentionnons également qu’elle est Officier de l'Ordre du Canada.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez les films suivants de Denise Filiatrault, disponibles au Superclub Vidéodan.
Ma vie en cinémascope 2004
L'odyssée d’Alice Tremblay 2002
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Grande dame du théâtre et du cinéma québécois, Denise Filiatrault est l'une des vedettes les plus connues au Québec. Elle s'est d'abord imposée par son talent de comédienne dans le feuilleton Les belles histoires des pays d'en haut de Claude Henri Grignon en 1956; puis dans la télésérie Moi et l'autre en 1964; et, enfin, dans Les Plouffe en 1981 et dans Le Crime d'Ovide Plouffe en 1984.
En 1968, dans Les belles-sœurs de Michel Tremblay, Mme Filiatrault a créé le personnage de Rose Ouimet. Elle a joué plusieurs rôles : au cinéma d'abord, dans les films suivants : La mort d'un bûcheron de Gilles Carle (1973) et Il était une fois dans l'Est d'André Brassard (1973); puis dans les productions franco-québécoises telles que Par le sang des autres (1974), Au revoir... à lundi (1979) et Mado, un film de Claude Sautet (1976).
Auteure, comédienne, actrice, réalisatrice, elle poursuit sa carrière au théâtre comme metteur en scène où elle a su s'imposer par des productions telles que Les Fridolinades, Les fourberies de Scapin, Demain matin Montréal m'attend de Michel Tremblay, Les leçons de Maria Callas, Les palmes de M. Schutz et plus récemment Cabaret présenté au Théâtre du Rideau Vert. Avec cette détermination dont elle a toujours su faire preuve, elle aborde le monde de la réalisation dans le domaine du cinéma en signant les films C't'à ton tour Laura Cadieux I et C't'à ton tour Laura Cadieux II, L’odyssée d’Alice Tremblay et tout récemment Ma vie en cinémascope.
Au cours de sa carrière artistique, Denise Filiatrault a reçu plusieurs marques de reconnaissance, notamment le prix hommage Gémeaux pour l'ensemble de sa carrière en 1995; le prix Victor-Morin pour l'ensemble de son œuvre en 1991 et le Masque (prix du public) qu'elle a reçu à deux reprises en 1995 et en 1996. En 1999, elle a reçu le Prix du Gouverneur général pour les arts de la scène. Mentionnons également qu’elle est Officier de l'Ordre du Canada.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez les films suivants de Denise Filiatrault, disponibles au Superclub Vidéodan.
Ma vie en cinémascope 2004
L'odyssée d’Alice Tremblay 2002
Libellés :
Actrice québécoise,
Réalisatrice québécoise
14 mai, 2006
Sofia Coppola
Réalisatrice américaine née le 14 mai 1971 à New York.
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Fille du cinéaste Francis Ford Coppola, Sofia Coppola débute sa carrière d'actrice dès le berceau : elle a à peine un an quand elle se fait baptiser devant la caméra de son père dans Le Parrain. Ses rôles suivants restent étroitement liés au réalisateur : il la fait figurer dans Le Parrain, 2e partie, Outsiders, Rusty James, Cotton Club, ou encore dans Peggy Sue s'est mariée, aux côtés de son cousin Nicolas Cage. Elle participe également à l'un des premiers court métrage de Tim Burton, Frankenweenie, et est à l'affiche en 1987 de Anna, long métrage de Yurek Bogayevicz avec Sally Kirkland dans le rôle titre.
Elle a 18 ans quand, parallèlement à ses études d'arts plastiques au California Institute of the Arts, elle incarne Mary Corleone dans Le Parrain, 3e partie, après le désistement soudain de Winona Ryder. Les critiques désastreuses qu'elle reçoit pour son interprétation lui font renoncer à embrasser une carrière d'actrice. Par la suite, elle fera quelques apparitions sur grand écran, notamment dans le court métrage Ciao L.A. et le documentaire Torrance Rises de son ancien mari, Spike Jonze et dans CQ de son frère Roman Coppola ou dans le premier épisode de la saga Star Wars, La Menace fantôme.
Cultivant son éclectisme, Sofia Coppola s'essaye à différents postes cinématographiques : elle est scénariste en 1989 pour le segment du film à sketch New York stories de son père, productrice en 1994 de Ciao L.A., directrice de la photographie sur Torrance Rises, costumière en 1990 pour The Spirit of '76, de Lucas Reiner. Mais elle trouve réellement sa vocation lorsqu'en 1996, elle réalise le court métrage Lick the star, dont elle est également scénariste et productrice et qui décrit l'errance de jeunes filles paumées ...
En 1996, elle réalise son premier long métrage, Virgin suicides, drame emmené par Kirsten Dunst, observant le mal-être de cinq adolescentes dans une ville de l'Amérique puritaine des années 1970. Le film, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes en 1999, est encensé par la critique. La cinéaste récidive en 2002 avec le plus léger Traduction infidèle, qui relate la rencontre de deux âmes esseulées à Tokyo, incarnées par Bill Murray et Scarlett Johansson et qui permet à Sofia Coppola de remporter l'Oscar du meilleur scénario original. Auréolée de ce succès, la réalisatrice retrouve la Croisette en 2006, sa biographie de la reine Marie-Antoinette, campée par Kirsten Dunst à l'écran, étant présentée en compétition au Festival de Cannes.
Source : www.allocine.fr
Voyez les films de Sofia Coppola, disponibles au Superclub Vidéodan.
Marie Antoinette v.f. 2006
Traduction infidèle 2003
The virgin suicides 1999
New York stories 1989 (Scénariste)
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Fille du cinéaste Francis Ford Coppola, Sofia Coppola débute sa carrière d'actrice dès le berceau : elle a à peine un an quand elle se fait baptiser devant la caméra de son père dans Le Parrain. Ses rôles suivants restent étroitement liés au réalisateur : il la fait figurer dans Le Parrain, 2e partie, Outsiders, Rusty James, Cotton Club, ou encore dans Peggy Sue s'est mariée, aux côtés de son cousin Nicolas Cage. Elle participe également à l'un des premiers court métrage de Tim Burton, Frankenweenie, et est à l'affiche en 1987 de Anna, long métrage de Yurek Bogayevicz avec Sally Kirkland dans le rôle titre.
Elle a 18 ans quand, parallèlement à ses études d'arts plastiques au California Institute of the Arts, elle incarne Mary Corleone dans Le Parrain, 3e partie, après le désistement soudain de Winona Ryder. Les critiques désastreuses qu'elle reçoit pour son interprétation lui font renoncer à embrasser une carrière d'actrice. Par la suite, elle fera quelques apparitions sur grand écran, notamment dans le court métrage Ciao L.A. et le documentaire Torrance Rises de son ancien mari, Spike Jonze et dans CQ de son frère Roman Coppola ou dans le premier épisode de la saga Star Wars, La Menace fantôme.
Cultivant son éclectisme, Sofia Coppola s'essaye à différents postes cinématographiques : elle est scénariste en 1989 pour le segment du film à sketch New York stories de son père, productrice en 1994 de Ciao L.A., directrice de la photographie sur Torrance Rises, costumière en 1990 pour The Spirit of '76, de Lucas Reiner. Mais elle trouve réellement sa vocation lorsqu'en 1996, elle réalise le court métrage Lick the star, dont elle est également scénariste et productrice et qui décrit l'errance de jeunes filles paumées ...
En 1996, elle réalise son premier long métrage, Virgin suicides, drame emmené par Kirsten Dunst, observant le mal-être de cinq adolescentes dans une ville de l'Amérique puritaine des années 1970. Le film, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes en 1999, est encensé par la critique. La cinéaste récidive en 2002 avec le plus léger Traduction infidèle, qui relate la rencontre de deux âmes esseulées à Tokyo, incarnées par Bill Murray et Scarlett Johansson et qui permet à Sofia Coppola de remporter l'Oscar du meilleur scénario original. Auréolée de ce succès, la réalisatrice retrouve la Croisette en 2006, sa biographie de la reine Marie-Antoinette, campée par Kirsten Dunst à l'écran, étant présentée en compétition au Festival de Cannes.
Source : www.allocine.fr
Voyez les films de Sofia Coppola, disponibles au Superclub Vidéodan.
Marie Antoinette v.f. 2006
Traduction infidèle 2003
The virgin suicides 1999
New York stories 1989 (Scénariste)
13 mai, 2006
Harvey Keitel
Acteur américain né le 13 mai 1939 à Brooklyn (USA).
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Voyez Harvey Keitel dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Des ombres au soleil 2005
Le Cas Furtwängler 2001
Trois saisons 1999
Rock’n Nonne 1992
Thelma et Louise 1990
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Voyez Harvey Keitel dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Des ombres au soleil 2005
Le Cas Furtwängler 2001
Trois saisons 1999
Rock’n Nonne 1992
Thelma et Louise 1990
10 mai, 2006
Yves Jacques
Acteur québécois né le 10 mai 1956 à Québec.
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L'imposant parcours professionnel d’Yves Jacques l'a mené de Québec, sa ville natale, à Montréal, avant de le propulser à Paris où il joue depuis, aussi bien à la scène qu'au cinéma.
Si son talent fut confirmé avec Le Déclin de l'empire américain du réalisateur Denys Arcand, sa renommée n'a cessé de croître avec des films et des productions théâtrales produits en France et au Québec. Il fait partie, entre autres, de la distribution des films Le collectionneur, Les Invasions barbares de Denys Arcand, et La Petite Lili de Claude Miller, tous deux en compétition officielle au Festival de Cannes en 2003.
De plus, on le retrouve dans le film Séraphin: un homme et son péché de Charles Binamé, dans Napoléon, la fresque historique d'Yves Simoneau, dans Aurore de Luc Dionne et dans La Veuve de St-Pierre de Patrice Leconte. Il joue en tournée mondiale les versions française et anglaise de la pièce de Robert Lepage, La Face cachée de la lune, une œuvre par laquelle il séduit le public d'Europe, d'Amérique du Nord, du Japon et de la Corée.
Les téléspectateurs du Québec ont eu le plaisir de le retrouver dans la télésérie René, où il a incarné Doris Lussier.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez Yves Jacques dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Cabotins 2010
Banquet (Le) 2008
Aurore 2005
René 2005
L'aviateur 2004
Ordo 2004
La Petite Lili 2003
Les Invasions barbares 2003
Séraphin: un homme et son péché 2002
Le collectionneur 2002
Betty Fisher et autres histoires 2001
Nuit de noces 2001
La Veuve de Saint-Pierre 2000
Louis 19 1993
Ding et Dong : le film 1990
Le Déclin de l'empire américain 1986
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L'imposant parcours professionnel d’Yves Jacques l'a mené de Québec, sa ville natale, à Montréal, avant de le propulser à Paris où il joue depuis, aussi bien à la scène qu'au cinéma.
Si son talent fut confirmé avec Le Déclin de l'empire américain du réalisateur Denys Arcand, sa renommée n'a cessé de croître avec des films et des productions théâtrales produits en France et au Québec. Il fait partie, entre autres, de la distribution des films Le collectionneur, Les Invasions barbares de Denys Arcand, et La Petite Lili de Claude Miller, tous deux en compétition officielle au Festival de Cannes en 2003.
De plus, on le retrouve dans le film Séraphin: un homme et son péché de Charles Binamé, dans Napoléon, la fresque historique d'Yves Simoneau, dans Aurore de Luc Dionne et dans La Veuve de St-Pierre de Patrice Leconte. Il joue en tournée mondiale les versions française et anglaise de la pièce de Robert Lepage, La Face cachée de la lune, une œuvre par laquelle il séduit le public d'Europe, d'Amérique du Nord, du Japon et de la Corée.
Les téléspectateurs du Québec ont eu le plaisir de le retrouver dans la télésérie René, où il a incarné Doris Lussier.
Source : www.radio-canada.ca
Voyez Yves Jacques dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Cabotins 2010
Banquet (Le) 2008
Aurore 2005
René 2005
L'aviateur 2004
Ordo 2004
La Petite Lili 2003
Les Invasions barbares 2003
Séraphin: un homme et son péché 2002
Le collectionneur 2002
Betty Fisher et autres histoires 2001
Nuit de noces 2001
La Veuve de Saint-Pierre 2000
Louis 19 1993
Ding et Dong : le film 1990
Le Déclin de l'empire américain 1986
08 mai, 2006
John Irvin
Réalisateur britanique né le 7 mai 1940 à Newcastle-upon-Tyne, Royaume-Uni.
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Voyez les films suivants de John Irvin, disponibles au Superclub Vidéodan.
Au rythme du comté de Clare 2004
Coup pour coup 2002
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Voyez les films suivants de John Irvin, disponibles au Superclub Vidéodan.
Au rythme du comté de Clare 2004
Coup pour coup 2002
05 mai, 2006
Gérard Jugnot
Acteur et réalisateur français né le 4 mai 1951 à Paris.
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Gérard Jugnot rencontre Christian Clavier, Thierry Lhermitte et Michel Blanc sur les bancs du lycée. Ensemble, ils forment la troupe comique du Splendid, qui s'illustre sur scène sept années durant avec un réel succès. En parallèle à son activité scénique, l'acteur fait ses débuts sur grand écran dans des films comme Les Valseuses (1974) de Bertrand Blier, Le Juge et l'Assassin (1976) de Bertrand Tavernier, ou encore Le Locataire (1976) de Roman Polanski. ¸
C'est avec Les Bronzés, en 1978, et Le Père Noël est une ordure, en 1982, deux longs-métrages adaptés de pièces du Splendid, que Gérard Jugnot accède à la reconnaissance publique. Les films sont d'énormes succès populaires, et le comédien ne tarde pas à être réclamé par des cinéastes qui vont jouer à plein sur son image de "français moyen" : Edouard Molinaro le fait tourner dans Pour cent briques t'as plus rien..., Jean-Marie Poiré le dirige dans Papy fait de la résistance (1983) et Le Quart d'heure américain (1982).
Après la disparition du Splendid, Gérard Jugnot continue son chemin en solo, incarnant Le Beauf d'Yves Amoureux ou s'illustrant dans le Tandem de Patrice Leconte, film pour lequel il rase sa célèbre moustache en même temps qu'il s'éloigne sensiblement du registre comique. Ainsi, il n'hésite pas à incarner des rôles à contre-emploi comme dans Marthe, où il campe un soldat de la Grande Guerre.
La carrière de Gérard Jugnot-acteur est indissociable de celle du Garard Jugnot-réalisateur. Dès 1984, il passe derrière la caméra avec la comédie Pinot simple flic suivie, un an plus tard, de Scout toujours. Si Sans peur et sans reproche met toujours le rire à l'honneur, Jugnot ne tarde pas à se spécialiser dans la comédie douce-amère, le film Une époque formidable... (1991), qui le voit incarner un cadre moyen perdant coup sur coup travail, femme et foyer, en étant l'un des plus beaux exemples.
Après avoir réalisé les comédies Casque bleu et Fallait pas!, Gérard Jugnot se met en scène en père déboussolé par les volontés d'indépendance de sa fille dans Meilleur Espoir féminin. En 2001, il signe Monsieur Batignole, où il joue un petit commerçant sous l'Occupation. Artiste particulièrement complet et populaire, il est en 2004 à l'affiche du triomphe Les choristes, puis, l'année suivante, du film à costumes Il ne faut jurer de rien !, tiré d'Alfred de Musset. En 2005, il tente pour la première fois le pari de l'adaptation en mettant en scène Boudu, nouvelle version du Boudu sauvé des eaux de Jean Renoir dans laquelle il donne la réplique à Gérard Depardieu avant de retrouver toute la troupe du Splendid pour de nouvelles aventures dans Les bronzés 3, amis pour la vie.
Source : www.allocine.fr
Voyez Gérard Jugnot dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Auberge rouge (L') 2007
Faubourg 36 2007
Île aux trésors (L') 2007
Brigades du tigre (Les) 2006
Les bronzés 3, amis pour la vie 2006
Il ne faut jurer de rien ! 2005
Boudu 2005
3 petites filles 2004
État critique 2004
Les choristes 2003
Monsieur Batignole 2002
Oui, mais… 2001
Meilleur espoir féminin 1999
Les cigognes n'en font qu'à leur tête 1989
Père Noël est une ordure (Le) 1982
Les Charlots contre Dracula 1980
Père Noël est une ordure (Le) - La pièce de théâtre 1979
Les Bronzés 1978
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Gérard Jugnot rencontre Christian Clavier, Thierry Lhermitte et Michel Blanc sur les bancs du lycée. Ensemble, ils forment la troupe comique du Splendid, qui s'illustre sur scène sept années durant avec un réel succès. En parallèle à son activité scénique, l'acteur fait ses débuts sur grand écran dans des films comme Les Valseuses (1974) de Bertrand Blier, Le Juge et l'Assassin (1976) de Bertrand Tavernier, ou encore Le Locataire (1976) de Roman Polanski. ¸
C'est avec Les Bronzés, en 1978, et Le Père Noël est une ordure, en 1982, deux longs-métrages adaptés de pièces du Splendid, que Gérard Jugnot accède à la reconnaissance publique. Les films sont d'énormes succès populaires, et le comédien ne tarde pas à être réclamé par des cinéastes qui vont jouer à plein sur son image de "français moyen" : Edouard Molinaro le fait tourner dans Pour cent briques t'as plus rien..., Jean-Marie Poiré le dirige dans Papy fait de la résistance (1983) et Le Quart d'heure américain (1982).
Après la disparition du Splendid, Gérard Jugnot continue son chemin en solo, incarnant Le Beauf d'Yves Amoureux ou s'illustrant dans le Tandem de Patrice Leconte, film pour lequel il rase sa célèbre moustache en même temps qu'il s'éloigne sensiblement du registre comique. Ainsi, il n'hésite pas à incarner des rôles à contre-emploi comme dans Marthe, où il campe un soldat de la Grande Guerre.
La carrière de Gérard Jugnot-acteur est indissociable de celle du Garard Jugnot-réalisateur. Dès 1984, il passe derrière la caméra avec la comédie Pinot simple flic suivie, un an plus tard, de Scout toujours. Si Sans peur et sans reproche met toujours le rire à l'honneur, Jugnot ne tarde pas à se spécialiser dans la comédie douce-amère, le film Une époque formidable... (1991), qui le voit incarner un cadre moyen perdant coup sur coup travail, femme et foyer, en étant l'un des plus beaux exemples.
Après avoir réalisé les comédies Casque bleu et Fallait pas!, Gérard Jugnot se met en scène en père déboussolé par les volontés d'indépendance de sa fille dans Meilleur Espoir féminin. En 2001, il signe Monsieur Batignole, où il joue un petit commerçant sous l'Occupation. Artiste particulièrement complet et populaire, il est en 2004 à l'affiche du triomphe Les choristes, puis, l'année suivante, du film à costumes Il ne faut jurer de rien !, tiré d'Alfred de Musset. En 2005, il tente pour la première fois le pari de l'adaptation en mettant en scène Boudu, nouvelle version du Boudu sauvé des eaux de Jean Renoir dans laquelle il donne la réplique à Gérard Depardieu avant de retrouver toute la troupe du Splendid pour de nouvelles aventures dans Les bronzés 3, amis pour la vie.
Source : www.allocine.fr
Voyez Gérard Jugnot dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Auberge rouge (L') 2007
Faubourg 36 2007
Île aux trésors (L') 2007
Brigades du tigre (Les) 2006
Les bronzés 3, amis pour la vie 2006
Il ne faut jurer de rien ! 2005
Boudu 2005
3 petites filles 2004
État critique 2004
Les choristes 2003
Monsieur Batignole 2002
Oui, mais… 2001
Meilleur espoir féminin 1999
Les cigognes n'en font qu'à leur tête 1989
Père Noël est une ordure (Le) 1982
Les Charlots contre Dracula 1980
Père Noël est une ordure (Le) - La pièce de théâtre 1979
Les Bronzés 1978
01 mai, 2006
Catherine Frot
Actrice française née le 1er mai 1957 à Paris.
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Fille d'un ingénieur et d'une prof de maths, Catherine Frot entre à 17 ans à l'Ecole de la Rue Blanche, puis au Conservatoire. Confondatrice en 1978 de la Compagnie du Chapeau Rouge, à laquelle se joindra bientôt Jean-Pierre Daroussin. Elle fait sa première apparition à l'écran en 1980 dans Mon oncle d'Amérique d'Alain Resnais. Tout en continuant de se consacrer essentiellement au théâtre, elle trouve quelques petits rôles au cinéma dans Psy, Elsa, Elsa et Chambre à part. Voisine de Robin Renucci dans Escalier C, elle obtient pour cette prestation une nomination au César du meilleur second rôle.
Au milieu des années 90, Catherine Frot triomphe sur les planches dans Un air de famille, le spectacle de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui : elle y interprète Yoyo, la belle-soeur nunuche, un personnage drôle et attendrissant qui lui vaut le Molière du second rôle. Lorsque Cédric Klapisch adapte la pièce à l'écran, le succès est encore au rendez-vous, et l'actrice décroche un César en 1997. Abonnée aux rôles de bourgeoise un peu pincée, elle enchaîne alors les comédies : maîtresse de Thierry Lhermitte dans Le Dîner de cons de Francis Veber (1998), elle apparaît également dans Paparazzi puis La Nouvelle Ève.
En 1999, Catherine Frot est pour la première fois en haut de l'affiche grâce à La Dilettante, succès-surprise de Pascal Thomas, dans lequel elle campe une provinciale au caractère bien trempé, elle retrouvera plus tard le cinéaste à l'occasion d'une joyeuse virée chez Agatha Christie avec Mon petit doigt m'a dit… (2005). Avec sa voix un rien gouailleuse, l'actrice s'illustre dans des comédies tel Chouchou et 7 ans de mariage qui asseoient encore un peu plus sa popularité. Mais elle dévoile bientôt d'autres facettes de son talent : vedette de Chaos (2001), film engagé de Coline Serreau, elle incarne ensuite avec retenue la terroriste repentie de la trilogie (Cavale, Après la vie et Un Couple épatant) de Lucas Belvaux et la pianiste secrète de La Tourneuse de pages (2006). Héroïne d'oeuvres qui revisitent le patrimoine national avec Vipère au poing et Boudu, Frot ajoute aussi de nouveaux spécimens à sa galerie de femmes candides et décalées avec Les Soeurs fâchées en 2004 et Odette Toulemonde en 2007.
Source : www.allocine.fr
Voyez Catherine Frot dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Imogène McCarthery 2010
Crime est notre affaire (Le) 2008
Empreinte de l'ange (L') 2008
Odette Toulemonde 2007
Tourneuse de pages (La) 2006
Mon petit doigt m'a dit… 2005
Boudu 2004
Eros thérapie 2004
Soeurs fâchées (Les) 2004
Vipère au poing 2004
7 ans de mariage 2003
Chouchou 2002
Chaos 2001
Dilettante (La) 1999
Inséparables 1999
Le Dîner de cons 1998
La dilettante 1998
La Nouvelle Ève 1998
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Fille d'un ingénieur et d'une prof de maths, Catherine Frot entre à 17 ans à l'Ecole de la Rue Blanche, puis au Conservatoire. Confondatrice en 1978 de la Compagnie du Chapeau Rouge, à laquelle se joindra bientôt Jean-Pierre Daroussin. Elle fait sa première apparition à l'écran en 1980 dans Mon oncle d'Amérique d'Alain Resnais. Tout en continuant de se consacrer essentiellement au théâtre, elle trouve quelques petits rôles au cinéma dans Psy, Elsa, Elsa et Chambre à part. Voisine de Robin Renucci dans Escalier C, elle obtient pour cette prestation une nomination au César du meilleur second rôle.
Au milieu des années 90, Catherine Frot triomphe sur les planches dans Un air de famille, le spectacle de Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui : elle y interprète Yoyo, la belle-soeur nunuche, un personnage drôle et attendrissant qui lui vaut le Molière du second rôle. Lorsque Cédric Klapisch adapte la pièce à l'écran, le succès est encore au rendez-vous, et l'actrice décroche un César en 1997. Abonnée aux rôles de bourgeoise un peu pincée, elle enchaîne alors les comédies : maîtresse de Thierry Lhermitte dans Le Dîner de cons de Francis Veber (1998), elle apparaît également dans Paparazzi puis La Nouvelle Ève.
En 1999, Catherine Frot est pour la première fois en haut de l'affiche grâce à La Dilettante, succès-surprise de Pascal Thomas, dans lequel elle campe une provinciale au caractère bien trempé, elle retrouvera plus tard le cinéaste à l'occasion d'une joyeuse virée chez Agatha Christie avec Mon petit doigt m'a dit… (2005). Avec sa voix un rien gouailleuse, l'actrice s'illustre dans des comédies tel Chouchou et 7 ans de mariage qui asseoient encore un peu plus sa popularité. Mais elle dévoile bientôt d'autres facettes de son talent : vedette de Chaos (2001), film engagé de Coline Serreau, elle incarne ensuite avec retenue la terroriste repentie de la trilogie (Cavale, Après la vie et Un Couple épatant) de Lucas Belvaux et la pianiste secrète de La Tourneuse de pages (2006). Héroïne d'oeuvres qui revisitent le patrimoine national avec Vipère au poing et Boudu, Frot ajoute aussi de nouveaux spécimens à sa galerie de femmes candides et décalées avec Les Soeurs fâchées en 2004 et Odette Toulemonde en 2007.
Source : www.allocine.fr
Voyez Catherine Frot dans les films suivants, disponibles au Superclub Vidéodan.
Imogène McCarthery 2010
Crime est notre affaire (Le) 2008
Empreinte de l'ange (L') 2008
Odette Toulemonde 2007
Tourneuse de pages (La) 2006
Mon petit doigt m'a dit… 2005
Boudu 2004
Eros thérapie 2004
Soeurs fâchées (Les) 2004
Vipère au poing 2004
7 ans de mariage 2003
Chouchou 2002
Chaos 2001
Dilettante (La) 1999
Inséparables 1999
Le Dîner de cons 1998
La dilettante 1998
La Nouvelle Ève 1998
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